Velazquez . unit lesdeux modèles. Ils appar-tiennent lun et lautre à lamême famille et ils auraientfort hieu pn faire partie decette chaîne de galériens (|uele paladin des o])prinuS etdes déshérités, don Qnichottede la Manche , aninu; desDieilleures intentions et malrécompensé de son zèle, mitjadis en lil.)erté. On pourrait, en lait délo-ges, se borner à di]-e (|ue cesdeux tahleaux iigurent pai iiiiles meilleures iieintures dela troisiènu^ nmnière de \ e-lazquez; ajoutons néanmoinsla considération \ elazquez nétait pas tenu do ménager les susceptibilités, aupoint de vue de la re


Velazquez . unit lesdeux modèles. Ils appar-tiennent lun et lautre à lamême famille et ils auraientfort hieu pn faire partie decette chaîne de galériens (|uele paladin des o])prinuS etdes déshérités, don Qnichottede la Manche , aninu; desDieilleures intentions et malrécompensé de son zèle, mitjadis en lil.)erté. On pourrait, en lait délo-ges, se borner à di]-e (|ue cesdeux tahleaux iigurent pai iiiiles meilleures iieintures dela troisiènu^ nmnière de \ e-lazquez; ajoutons néanmoinsla considération \ elazquez nétait pas tenu do ménager les susceptibilités, aupoint de vue de la ressendjlauce, de modèl(>s aussi peu favorisés dusort, il put interpréter ceux-ci de la fiiçon la plus franche et la plusexacte. Cest ce qui explique la spontanéité et la fernuté de la fac-ture et lart avec lequel certains morceaux semblent nêtre quiiuli-qués : il en résulte pour lcusemble une fraîcheur et un accent quonchercherait vainement dans des toiles plus poussées. 18. PuiiiiiAiT ni: uuLiirj?; ixj?; .IvAX ijAvTiutiini(Musée du rrtidu j i38 Z lxcc[)ti<ia faite du (woi^i-dpliv, de lahllllos de NaDadolid et dIdPrimo, qui furent portraiturés avant second voyage de Velazqnez enItalie, les autres IjoulVons et les deux pldlosoplies furent points aucours des dix dernières années de la vie de l arliste. Cest alors que \ elazqnez, maître en son art, instruit par touteune existence de travail séiienx et médité, exécuta ses œuvres les plussurprenantes, l^a simplicité des niojens artistiques, lharmonieusesjutlièse de la conception et de rinter|)rétation, tels sont les élé-ments de ce (pion a a|i[)elé sa numière aljrégée ; elle serait due,daprès lalomino, aux fameuses Ijrosses longnuS dont se servait lar-tiste, nu\is ce fut là — supposé (piil ait existé — un moyen matérielauquel ce critique et dautres auteurs ont accordé plus dinqiorlanccqiiil nen eut réellement. Le passag-e de la seconde manière à l;i troi


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