Revue de l'art chrétien . ion dune chapelle dédiée I. Congrès archéologique de Grenoble de 1857. 1. (Charte de1012). Bull, de la Société de statistique de lIsère, 3* série,tome \1II, p. 345. — Prudhomme, Notice sur Grenobleet ses monuments, distribuée à loccasion du Congrès delAssociation française pour lavancement des sciences,1885. îLoratoîre ùe ^àintlLànxmt ht (Bvmoblt. 219 à saint Oyend qui paraît être la nôtre ().Dautres actes relatent quen 1023, cet em-placement contenait les ruines dun édificedédié à saint Laurent et à sainte Eugé veut-on que ces édifices aient étésuperposés
Revue de l'art chrétien . ion dune chapelle dédiée I. Congrès archéologique de Grenoble de 1857. 1. (Charte de1012). Bull, de la Société de statistique de lIsère, 3* série,tome \1II, p. 345. — Prudhomme, Notice sur Grenobleet ses monuments, distribuée à loccasion du Congrès delAssociation française pour lavancement des sciences,1885. îLoratoîre ùe ^àintlLànxmt ht (Bvmoblt. 219 à saint Oyend qui paraît être la nôtre ().Dautres actes relatent quen 1023, cet em-placement contenait les ruines dun édificedédié à saint Laurent et à sainte Eugé veut-on que ces édifices aient étésuperposés ? Rien ne lindique dune façonprécise. Au lieu de courir dans le champ aventureux des hypothèses, il vaut mieuxnous en tenir à lalternative que nous poselarchéologie religieuse. Si la chapelle de Saint-Laurent a étéune crypte dans le sens rituel, il faut quonnous montre un corps saint déposé dansson enceinte ou que les partisans de la. Saint-Laurent de Grenoble. Côté Nord. crypte nous indiquent où ils ont vu unchevet déglise mérovingienne élevé sur unplan aussi singulier que celui de Saint-Laurent. Cette dernière objection est laplus forte ; elle a été déjà soulevée par Reymond, critique dart, avec desremarques singulièrement sagaces, quiaccusent de sa part une connaissance exacte I. Cest la thèse de M. de Gournay (, 2 série,t. X, 1854, pp. 202-212). —- Lautre opinion est soutenuepar M. Prudhomme, archiviste de lIsère. de laménagement de ce genre de sanc-tuaire. Il est bien vrai que ladoption dune cryptedans une église impose des prévisions par-ticulières déquilibre à lentrepreneur destravaux et que létat des substructions dunchevet trahit toujours la pensée que larchi-tecte a développée à létage supérieur. Len-ceinte du sanctuaire na pas dautre baseque lenceinte de la crypte, les deux partiesse lient étroitement, si bien que les propor- 220 Bebur De r^rt cf)rct(en.
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