. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. TISSU OSSliOX DKS POISSONS. 289 ilisliiictcs. Poiir(l(''sign(M- leur tMiseiiiI)l(' d'un seul mol, les allcniaiids leur donnent le nom à ii lL(i)is((hi<l(iitzgcwche)i\ nous pouvons les appeler tissus squeleltiqucs. Il suffit de parcourir les traités classiques d'Histologie pour voir la diversité dos mélliodes employées parles auteurs pour exposer la i-onslilulioii du lissu osseux et son développemcnl. On p(ud parcelle iri'égularilé se rendre compte de Ja dil'ficullé que l'on éprouve à trouv(^run itlaii i


. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. TISSU OSSliOX DKS POISSONS. 289 ilisliiictcs. Poiir(l(''sign(M- leur tMiseiiiI)l(' d'un seul mol, les allcniaiids leur donnent le nom à ii lL(i)is((hi<l(iitzgcwche)i\ nous pouvons les appeler tissus squeleltiqucs. Il suffit de parcourir les traités classiques d'Histologie pour voir la diversité dos mélliodes employées parles auteurs pour exposer la i-onslilulioii du lissu osseux et son développemcnl. On p(ud parcelle iri'égularilé se rendre compte de Ja dil'ficullé que l'on éprouve à trouv(^run itlaii i'alioiin(d de descrij)lion. On comprend rusémcid ((ue lorsque celle descri|)lion doit porter, non sur un seul lissu bien d(''lernnné. mais sur un vaslc gi-oupc dans lequel il esl diriicile d'établir des subdivisions, celle diflicullé soit encore j)lns grande. Pour établir des espèces, dans cette grande famille, il faut se baseï" sur des caractères propi'es aux tissus eux-mêmes, puisque ni leur lieu de développement ni les organes qu'ils constilueidirétablissenl entre eux des distinctions nettes et bien trancliées; et nous ne pourrons établir des caractères individuels qu'après avoir examiné la constitution même de ces tissus et la répartition des éléments qui entrent dans leur composition. Notre étude doit donc viser d'abord ces éléments, et afin d'apporter un peu d'ordre dans notre exposition, nous devrons examiner successivement chacun d'eux, comme si nous avions à faire à un seul tissu, mais en indiquant les multiples particularités^ qu'ils préstîntent et la façon dont ils se montrent groupés. Comme pour tous les tissus conjonclifs, nous devons distinguer une substance fondamentale et des éléments cellulaires. Nous étudierons d'abord la première, qui par sa calcification donne à ces tissus leur consistance caractéristique et leur permet de remplir le


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