. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. PYCNOGONIDES DU ''POURQUOI PAS P >>. 133 Dragage n^ VHI : 20 Janvifi- lOOD, baie Marguerite; chalul I, 200 mètres, température de l'eau sur le fond + l°j'^i foche, gravier, vase. Un mâle ovigère «jaune sale " (No 188) et un jeune « brun sale » (N°256), où les ovigèrcs sont incomplètement développés. La trompe (fig. 85) est identique à celle de l'/l. ininor^ c'est-à -dire piriforme, très peu sensiblement infléchie et un ])eu plus
. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. PYCNOGONIDES DU ''POURQUOI PAS P >>. 133 Dragage n^ VHI : 20 Janvifi- lOOD, baie Marguerite; chalul I, 200 mètres, température de l'eau sur le fond + l°j'^i foche, gravier, vase. Un mâle ovigère «jaune sale " (No 188) et un jeune « brun sale » (N°256), où les ovigèrcs sont incomplètement développés. La trompe (fig. 85) est identique à celle de l'/l. ininor^ c'est-à -dire piriforme, très peu sensiblement infléchie et un ])eu plus longue que le céphalothorax ; elle atteint sa largeur maxima (qui ne dépasse pas celle du tronc dans sa partie mé- diane la plus étroite), un peu au delà du milieu, celui-ci étant indi- qué par les traces fort vagues d'un étranglement; à partir de ce point des lignes longitudinales se mani- festent assez nombreuses sur les parois de l'organe. Le cèphdhm (fig. 85) est un peu plus long que large et à peine plus étroit en arrière; son bord antérieur, carrément tronqué, porte un léger denticule à la base de chaque chélicère. La tubercule oculaire est verti- cal, assez haut et large ; il se termine par un cône aigu, ou par une pointe, au-dessus des yeux. Ces derniers sont largement séparés, très nets, peu étendus et ovales ; ceux de la paire antérieure sont sensiblement plus grands que les autres. Le tronc (fig. 85) ressemble tout à fait à celui de XA. m\nùr\ tou- tefois ses saillies dorsales s'infléchissent très légèrement en arrière, et les deux saillies qu'on trouve dorsalement au bout de chaque prolonge- ment coxal sont moins arrondies, plus anguleuses. Vabdomen (fig. 85) se dilate peu vers sa partie terminale ou ne se dilate pas du tout; dans le jeune exemplaire il est même rétréci. Sa longueur est à peu près celle du dernier prolongement
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