Oeuvres de . ougueuxdefirs.à tes volontésfupremes,? Xai tout fait, pour te plaire,& tu.^jab>àndonnesi (Tn te chargeons dampn ..honlieur, <k Jat mas perd u ! Ingrate ljftndsrrooi compte^ du dépôt que je mas:montrée;ï cVque ru: menlevas., Anges ; du, ciel, j euiTeméprjfé Jjeufle été le plus heu-»reux des &$fttaofi)-Hélasl je .ne fuisi pins-rien ,il luvinftant ma. tout ,ôré, Jai pa(S5(ans; intervalle du comble des plaiiks autfregret*--, é Je .touche encore au * HÊt b -ï s e. 7 Iponheur qui mé Jy touche encore , & le perds pour jamais! A
Oeuvres de . ougueuxdefirs.à tes volontésfupremes,? Xai tout fait, pour te plaire,& tu.^jab>àndonnesi (Tn te chargeons dampn ..honlieur, <k Jat mas perd u ! Ingrate ljftndsrrooi compte^ du dépôt que je mas:montrée;ï cVque ru: menlevas., Anges ; du, ciel, j euiTeméprjfé Jjeufle été le plus heu-»reux des &$fttaofi)-Hélasl je .ne fuisi pins-rien ,il luvinftant ma. tout ,ôré, Jai pa(S5(ans; intervalle du comble des plaiiks autfregret*--, é Je .touche encore au * HÊt b -ï s e. 7 Iponheur qui mé Jy touche encore , & le perds pour jamais! Ah! fi je leîpouvcfiis droite !î Ci fies reftesdune efpérance vaine ne rochers de Mèillerié qùe mon - éeilégaré mefura tant de fois, que ne ferrvîtés-vdus-mon défëlpoir! Taurois îiïoïnfcregretté la vie, quand je nen avois patffenti le prix. -. A La Nouvelle LETTRE II. de Mylord Edouard a Claire. X^i ous arrivons à Befançon , Se monpremier foin eft de vous donner desnouvelles de notre voyage. Il seft fair,fînon paisiblement, du moins fans acci-dent , 8c votre ami eft au(ïi fain de corpsquon peut lêtre avec un cœur aufïi ma-lade. Il voudroit même affecter à lex-térieur une forte de tranquillité. Il a/honte de fon état, Se fe contraint beau-coup devant moi j mais tout décèle (esfecrettes agitations; & a fi je feins de mytromper, ceft pour le laifler aux prifesavec lui-même, & occuper ainfi unepartie des forces de fon ame à réprimerleffet de lautre. Il fut fort abattu la première journée :je la fis courte, voyant que la viteife denotre marche irritoit fa douleur. Il ne me H È L O l S E. *> parla point, ni moi à lui j les confolationsindifcrettes ne font quaigrir les violen-tes afflictions. Lindifférence & la froi-deur trouvent aifément des paroles j maisla triftetfe de le filence font alors
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