La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . le couvrir. Jai - porté , «- Sujet a8o Faysane pervertie, ma hélas, cétait une glace ^ Je me livrais à cette vue , fanglotant, ce me eonnaiflant quasi pas , quand jai- cntcndu quelque bruit. Je me fuis-re-^^ i« tournée. Cétait mon Homme. *—Queifiampe, faitcs-vous, ma Femme I —Oh ! oh î... je dis adieu aux Morts-1 ai-ie-fair. —Machère Femme, avez-vous pu dé-; —^Tiens (je Tai-tutoyé î )tiens, rega
La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . le couvrir. Jai - porté , «- Sujet a8o Faysane pervertie, ma hélas, cétait une glace ^ Je me livrais à cette vue , fanglotant, ce me eonnaiflant quasi pas , quand jai- cntcndu quelque bruit. Je me fuis-re-^^ i« tournée. Cétait mon Homme. *—Queifiampe, faitcs-vous, ma Femme I —Oh ! oh î... je dis adieu aux Morts-1 ai-ie-fair. —Machère Femme, avez-vous pu dé-; —^Tiens (je Tai-tutoyé î )tiens, regarde ... Urfule ... ceilUrfulclque voila !... Regarde ! reconnais^tucelle que les Malheureus ont profanée-!...Pierre refl-ietéà deux genou s, & a-poufTéun cri lamentable, qui ma-percékcœur.•—0 ma Sœur ! ma pauvre Sœur i voiladonc comme je vous revois î... Malheu-reus jai-été orgueilleus de vous , àh^TOtrejeuneiTe: je disais:: Jai une Sœur,quieflla plus-belle des Filles, & un-jourQuelqu^un de grand->nom lé cette idée pi us dune fois , dèsfa tendre jeunelîe I Hélas ! jai4u hRela-1 tion. VIlI.* Partie, aSr lion y qurma-bien-rabbaiiré morv orgueil îme le voila bien-davantage encore, que jet^ous vois-la, de la Oh! oh | mon Dieu ! que vous nous avez punis-!...Ma chère, Femme^laiflez-moi ici; je veuxveiller les Morts, en-attcndant que de-[nain, on les mette dans le lieade paix-!.... VL il feft-levé ^ rae voyant attentive fansui répondre , fur le cercueil dEdmond ^k fétant-avancé......... Il a-frémi; tl a-reculé...» —Mon Frère !.... mon; Frère-!.., Qh! quel cri! je croislea-^endre Et il fefl-avancé tout-3rès comme pour le regarder.^ Mais jeiai-couvert, commeinfpirée : —Ila-dit^letu ne le verrais jamais ! refpeéle la ve-oaté des Morts-!... Mon Mari f eft^re-iré^en-eriant : —OEdmond ! ô mon Arnîièsnotre enfance; Celuiâ quîiouvrais-non cœur y & qur mouvrais le tier?!tout ef
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