L'illustration : journal universel . (Collection de M. Schœffl. —Passage du Tigre. sures ni végétation. Et pourtant vi i!a ça et là des arches deponts brisés, des ruines de châteaux, des traces de civilisa-tion ! Dans ces lieux où se pressait autrefois une population. (Indien porteur de serpents.) nombreuse, super flumina Babylonis, que nous présente au-jourdhui M. Schœfft? Un frêle radeau sur lequel sont sixpersonnes. Napprochez pas, ne le touchez pas surtout; cestun kellek fait de morceaux de bois que lon vendra plus tardà Bagdad et qui, réunis par des liens peu sûrs, sont suppor-tés par des
L'illustration : journal universel . (Collection de M. Schœffl. —Passage du Tigre. sures ni végétation. Et pourtant vi i!a ça et là des arches deponts brisés, des ruines de châteaux, des traces de civilisa-tion ! Dans ces lieux où se pressait autrefois une population. (Indien porteur de serpents.) nombreuse, super flumina Babylonis, que nous présente au-jourdhui M. Schœfft? Un frêle radeau sur lequel sont sixpersonnes. Napprochez pas, ne le touchez pas surtout; cestun kellek fait de morceaux de bois que lon vendra plus tardà Bagdad et qui, réunis par des liens peu sûrs, sont suppor-tés par des outres. Cependant les voyageurs semblent fortrassurés ; lun deux est assis et paraît réfléchir, trois autresfument et causent tandis quaidés dun jeune Arabe ils sou-tiennent des chevaux quon fait passer à la nage ; un hommedirige lembarcation et rame avec cetle vigueur et ce sang-froid dont sont doués les Orientaux. Il est certes difficile detrouver un tableau représentant une scène plus imprévue. Voici Umritsir, métropole des Siks, tribu dont Runjit-Sing fit une nation, et qui occupent aujourdhui une vastecontrée connue sous le nom de royaume de Lahore. Noussommes sur les bords dun lac sacré et renfermé entre deuxdigues à lextrémité d
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