. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. IC)02 DEUXIÃME NOTE SUR LES ORBITOIDES 257 Cette grande loge est traversée à l'intérieur, un peu en tous sens, par de nombreuses cloisons minces très irrégulières qui sont les parois de loges internes qui entaillent la paroi intérieure de la grande loge. La fig. i est la reproduction à la chambre claire de la plus nette de mes nombreuses sec- tions, mais il est cependant impos- sible de se rendre compte de la véri- table disposition de ces loges internes. La paroi de la grande loge est traver- sée par de nombreuses perforations
. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. IC)02 DEUXIÃME NOTE SUR LES ORBITOIDES 257 Cette grande loge est traversée à l'intérieur, un peu en tous sens, par de nombreuses cloisons minces très irrégulières qui sont les parois de loges internes qui entaillent la paroi intérieure de la grande loge. La fig. i est la reproduction à la chambre claire de la plus nette de mes nombreuses sec- tions, mais il est cependant impos- sible de se rendre compte de la véri- table disposition de ces loges internes. La paroi de la grande loge est traver- sée par de nombreuses perforations qui lui donnent une apparence iibreuse. Les fig. 10 et ii (pi. VII), reprodui- sent les sections laites dans de tout jeunes individus, qui n'ont encore â Orbitoides Gensacica. qu'un OU deux cycles de loges équato- Lo*c embryonnaire. Forme \ . , , , A° , A. Grossie 3o fois. â Cap riales et a peu près le même nombre passaro (Sicile). de couches de loges latérales. Le pre- mier (fig. 10) provient de Gensac ; l'autre, du cap Passaro, en Sicile. La figure 12 est une coupe transversale d'un grand individu dont les deux faces sont à peu près parallèles. On voit que les loges équatoriales augmentent peu en hauteur vers le bord du disque ; en plan (fig. 8), on reconnaît que leurs parois demi-circulaires sont disposées de telle façon qu'en se suivant elles déterminent deux séries de courbes qui s'entrecroisent et produisent un effet de moi- rage. Les loges latérales (fig. 12) sont nombreuses et s'empilent assez irrégulièrement. L:Orbitoides secans Leym. sp. ne peut être maintenu comme espèce. En effet, si l'on examine les sections transversales (fig. i3 et i/J) et la section horizontale (fig. 9), il est facile de constater que tous les caractères de YO. Gensacica se retrouvent. Même loge embryonnaire, même aspect des loges équatoriales, seulement les loges latérales sont en plus grand
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