. Essai philosophique concernant l'entendement humain, : ou l'on montre quelle est l'etendue de nos connoissances certaines, et la maniere dont nous y , ce me femble, la première, la plus générale, & la plus CeftfihprfmMMnaturelle divifion des Objets de notre Entendement. Car lHomme ne SoÏÏtpeut appliquer fes penfées , quA la contemplation des chofes mêmes, pour fan<;e<découvrir la Vérité; ou Aux chofes qui font en fa puiflance, ceft-à-dire,à fes propres aiïioiis, pour parvenir à les fins ; quAux fignes dont lEfpricfe fert dans lune & lautre de ces recherches, & dans le jufte
. Essai philosophique concernant l'entendement humain, : ou l'on montre quelle est l'etendue de nos connoissances certaines, et la maniere dont nous y , ce me femble, la première, la plus générale, & la plus CeftfihprfmMMnaturelle divifion des Objets de notre Entendement. Car lHomme ne SoÏÏtpeut appliquer fes penfées , quA la contemplation des chofes mêmes, pour fan<;e<découvrir la Vérité; ou Aux chofes qui font en fa puiflance, ceft-à-dire,à fes propres aiïioiis, pour parvenir à les fins ; quAux fignes dont lEfpricfe fert dans lune & lautre de ces recherches, & dans le jufte arrangementde ces fignes mêmes, pour sinftruire plus nettement lui-même. Or com-me ces trois articles, (je veux dire les Chofes entant quelles peuvent êtreconnues en elles-mêmes, les Allions entant quelles dépendent de nous parrapport à notre Bonheur, & lufage légitime des fignes pour parvenir à laConnoiflance) font tout-à-fait differens, il me femble aufli que ce fontcomme trois grandes Provinces dans le Monde Intellectuel, entièrementfeparées & diftinctes lune de lautre. FIN du Quatrième & Dernier Gggg TABLE TABLE DES PRINCIPALES MATIERES. A. ^gOk ;^ s tr acti on,ce que ceft. ;ffî Elle met une parfaite difnnce entre A les hommes & les Bêtes. HUA. ées <rôy?r«tf«,commentfonné 5-<5,7,8- , _ Les termes abfiraits ne fauroient être amrmez lun de lautre. 383 §. 1.[Accident, ce que ceit. 130. §. , rien ce découvre mieux les Principes des hommes que leurs adions. 28. §. 7. •Il ny a que deux fortes à 180. Atlion désagréable peut devenir agréable, & comment, m7. §.6 •. Nulles aMhns coniïderées en différens temps ne peuvent être les mêmes. 159 5- 7- Aillons corrfiderées comme des Modes, ou par rapport a ce quelles ont de moral. 2Sj. $. , lidée àAdoration neft pas innée. 44, 45- §-7- r , .„ Affirmations, elles ne roulent que fur des idées concrètes. 384.
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