Traité d'anatomie humaine . s faisceaux musculaires sont très souvent rempla-cés, partiellement ou en totalité, par du tissu lihreux et il y a longtemps déjà queleur contraction a échappé à rinlluence volontaire. On sait, en effet, que les sujetssont exceptionnels qui peuvent à volonté mouvoir leur pavillon en haut, en avantou en arrière. B. Muscles intriiNSï:ques. — Les muscles intrinsèques du pavillon auriculaire,ainsi appelés parce quils reposent dans toute leur étendue sur le pavillon lui-même, sont au nombre de six. Ce sont : le grand muscle de lhélix, le petit musclede riiélix, le muscle


Traité d'anatomie humaine . s faisceaux musculaires sont très souvent rempla-cés, partiellement ou en totalité, par du tissu lihreux et il y a longtemps déjà queleur contraction a échappé à rinlluence volontaire. On sait, en effet, que les sujetssont exceptionnels qui peuvent à volonté mouvoir leur pavillon en haut, en avantou en arrière. B. Muscles intriiNSï:ques. — Les muscles intrinsèques du pavillon auriculaire,ainsi appelés parce quils reposent dans toute leur étendue sur le pavillon lui-même, sont au nombre de six. Ce sont : le grand muscle de lhélix, le petit musclede riiélix, le muscle du tragus, le muscle de lantitragus, le muscle transverse etle muscle oblique. a. Situation et insertions. — Les insertions de ces différents muscles varientpour chacun deux et il convient de les considérer isolément : Le grand muscle de lhélix (fig. 385,4) est un petit faisceau musculaire, de 15à 20 millimètres de longueur, cliarnu à sa partie moyenne, tendineux à ses deux II*////. ^ I1 i„:.


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