. Quatre siècles . eméthodiste, au discours de Charles Fairchild, ancien se-crétaire de la Trésorerie, aux réceptions de M^^s Ledjard,Lincklaen, etc. Théophile continua de soccuper, à Philadelphie, des (l) Le « Sj^racuse Weekly Journal » raconte ainsi —8 nov. 1890— les débuts de la nouvelle cité : « En 1792, Jean van Lincklaen pénétra dans le désert du centre» de lEtat de New-York et commença, comme agent de la Compa-» gnie Hollandaise fHolland land Company), les premières fonda-» tions de la ville actuelle. Il épousa, en 1797, la sœur aînée du» général Ledyard, et après sa mort, lAgence passa
. Quatre siècles . eméthodiste, au discours de Charles Fairchild, ancien se-crétaire de la Trésorerie, aux réceptions de M^^s Ledjard,Lincklaen, etc. Théophile continua de soccuper, à Philadelphie, des (l) Le « Sj^racuse Weekly Journal » raconte ainsi —8 nov. 1890— les débuts de la nouvelle cité : « En 1792, Jean van Lincklaen pénétra dans le désert du centre» de lEtat de New-York et commença, comme agent de la Compa-» gnie Hollandaise fHolland land Company), les premières fonda-» tions de la ville actuelle. Il épousa, en 1797, la sœur aînée du» général Ledyard, et après sa mort, lAgence passa aux mains du» général Ledyard, puis de ses fds ; George S. Ledyard, mort en» novembre 1890 représentait la troisième génération dune fa-» mille dont les grands intéiêts navaient jamais été compromis» par incapacité, cupidité ou violence. Les noms de Lincklaen et» de Ledyard sont, dans lEtat de New-York, le type de linté-» grité et de la noblesse des sentiments. ». CAZENOVIA1909 — i69 — entreprises de la Société, qui le récompensa par le dondun service de vaisselle plate, qui est encore dans lesmains de la famille. Il obtint, le i8 décembre 1794, letitre de citoyen américain. La Cour de Philadelphie,« considérant, par témoignage digne de foi, quil est de-puis deux ans aux Etats-Unis et quil a résidé un an etplus dans létat de Pensylvanie, et quil est un personnagedun caractère honorable, lui permet de jurer le sermentprescrit par la » Ce fut vers cette époque que Théophile recueillit chezlui un fugitif inattendu, et déjà illustre, Talleyrand, évo-que dAutun, qui fuyait lAngleterre, où. il avait été en-voyé en mission, parce quil prévoyait quon allait luiappliquer 1 « alien bill », le décret contre les étrangers. « Jarrivais en Amérique, dit-il dans ses mémoires, pleinde répugnance pour les nouveautés qui en général, inté-ressent les voyageurs. Je retrouvai à Philadelphie unHollan
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