. Bulletin de la Société botanique de Genève . que lautre se prolonge en un lilanuMil (|nipénètre par les stomates et envahit lintérieur des tissus. En résumé, mon étude antérieure sur Sderoliniu Mallltioir se Iroiiveainsi complétée. Il ma été possible de suivre le cycle coiiiplcl dr crllcnouvelle espèce. Linfection de la piaule a lieu au monienl de lappa-rition des apothécies par lintermédiaire de limaces, lesquelles rongeidces fructifications et se chargent des spores. En se Iransporlanl sur leMatthiola, les mollusques infectent ces plantes après les hlessée>. 430 J,ULM-;TI^ 1)1] L


. Bulletin de la Société botanique de Genève . que lautre se prolonge en un lilanuMil (|nipénètre par les stomates et envahit lintérieur des tissus. En résumé, mon étude antérieure sur Sderoliniu Mallltioir se Iroiiveainsi complétée. Il ma été possible de suivre le cycle coiiiplcl dr crllcnouvelle espèce. Linfection de la piaule a lieu au monienl de lappa-rition des apothécies par lintermédiaire de limaces, lesquelles rongeidces fructifications et se chargent des spores. En se Iransporlanl sur leMatthiola, les mollusques infectent ces plantes après les hlessée>. 430 J,ULM-;TI^ 1)1] LA SOriKTK BÛTAMQUI^ DJ^ (lENEVE (10) Je nai jamais réussi à iiifecUiurtiriciellciiuiil les plantes au moyendu mycélium. Enfin cette étude ma permis de donner de cette nouvelle espèce unediagnose définitive. hiagnone : .\l>celiimi albo-candidum, liyplùs anastomosantibiis etseptalis, 4-6 a latis iina\. 8 u)\ sclerotiis magnis, irregulariter de-presso-globosis, solitariis, nigris. 0,3-0,8 cm. latis; conidiis glol)osis. Fig. 4. — frermiiiation des spores surle pédoncule floral du Matthiolavallesiaca. 4-5 ^a diam., iu conidioplioris irregulariter ramosis sitis; apoLliecisnonnumerosis vel solitariis, stipitatis, pallide brunneis 3-4 mm. Ascis cylindraceis apice rotundatis 140 // X 10 ij., ellipsoideis, apice plus minus acuminatis \\ a X ^ u- Para-pliysibiis sparsis 130 u. X 3 ^. Hab. : In caiilibus Ma/lhiulu vallesiucie cult?e, Genevie ; ScleroliniicParùcis et Svleroliniœ Lihrrfiamr affinis. Etude dequelques levures alpines parRobert Edouard LUDWIG {Communiiiiir en séance du 22 niai lyiji INTRODUCTION Depuis une vingtaine dannées, les Liologisles se sont dccupés d<petits mycètes quon appelle les levures. Agents principaux de beau-coup de fermentations, on en a fait usage depuis plusieurs siècles,voir même dans lantiquité. Leur biologie est entièrement liée à celledes fermentations et, de ce fait, elle a


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