L'illustration : journal universel . les indications médicales, les malades quon ne peut, sans inconvénients p ux, laisser réunis. Il que chai une de ces divisions ail sa cour ou son jardin, s;, salie de réunion, - lortoir ou ses chambres. Nous avons insisté sur celle importante question en parlant du belétablissement de MM. Voisin el Falret. Pour toul médecin,el mê pour lhomme du monde qui sesl un peu occupé des aliénés, cest là un principe élémentaire. Pourquoi faut-il quon lail si peu suivi a Charenton. Les bâtiments sont\,i~ir~, lespace ne manque pas sans doute, mais on semblenavoir e


L'illustration : journal universel . les indications médicales, les malades quon ne peut, sans inconvénients p ux, laisser réunis. Il que chai une de ces divisions ail sa cour ou son jardin, s;, salie de réunion, - lortoir ou ses chambres. Nous avons insisté sur celle importante question en parlant du belétablissement de MM. Voisin el Falret. Pour toul médecin,el mê pour lhomme du monde qui sesl un peu occupé des aliénés, cest là un principe élémentaire. Pourquoi faut-il quon lail si peu suivi a Charenton. Les bâtiments sont\,i~ir~, lespace ne manque pas sans doute, mais on semblenavoir eu en vue que deux classes de malades, les agités elceux i|ui *uiii tranquilles, encore na-t-on pas eu égard à laproportion des premiers relativemenl aux autres. Le nombre des cellules destiné aux agiles suffirai! pour unhôpital quatre à cinq fois plus considérable que ne lesl celuide Charenton. Il en résulte quon se rail obligé de placer dansces cellules, a côté de quelques aliénés indociles, turbuli nts,. (Vue générale de lhospice des aliénés de Charenton.) parlant nu criant sans cesse, dautres malades fort tranquilles, & qui SOUffrenl nécessairement dun pareil voisinage. N I onObjecte à cela que plus tard, quand tout sera terminé cesmalades trouveront place dans une autre division, celle îlesaaités sera néanmoins trop grande; on aura un grand nom-bre de. cellules constamment vides et représentant une dé-pense inutile. ,. Nous avons parlé îles cours; elles sont élégamment dispo-sées mais dun aspect bien nu et bien triste pour les mala-des Les quelques arbres quon y a plantés ne sont pas destt- i acquérir de grandes dimensionslâtiments. Puis, il manque une cdu gazon, ce sont des fleurs, cesrre, dont laspecl nous ,1 nous sortons pnurqi ar ils masque t, n De Le bas de les heures de nos ruelalaile, à un homme trit sur lui la vue de laz avec nous quon les resde ailins,enfu-ement ?rihireit ox- st planté darbres, il est vrai , et pour


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