. L'Abbe Constantin . LABBE CONSTANTIN 149 — Mon parrain a eu tort, dit Jean avec unecertaine vivacité. — Non, non, il na pas eu tort. Si quelquun aété coupable, cest moi, et coupable par charité,non par curiosité, je vous le jure. Jai découvertque votre parrain nétait jamais si heureux quelorsquil parlait de vous ; alors moi, le matin, quandje suis seule avec lui, pendant nos promenades,pour lui faire plaisir, je lui parle de vous, et il meraconte votre histoire. Vous êtes à votre aise, vousêtes très à votre Vous recevez du gouver-nement deux cent treize francs par et descenti
. L'Abbe Constantin . LABBE CONSTANTIN 149 — Mon parrain a eu tort, dit Jean avec unecertaine vivacité. — Non, non, il na pas eu tort. Si quelquun aété coupable, cest moi, et coupable par charité,non par curiosité, je vous le jure. Jai découvertque votre parrain nétait jamais si heureux quelorsquil parlait de vous ; alors moi, le matin, quandje suis seule avec lui, pendant nos promenades,pour lui faire plaisir, je lui parle de vous, et il meraconte votre histoire. Vous êtes à votre aise, vousêtes très à votre Vous recevez du gouver-nement deux cent treize francs par et descentimes. Est-ce bien cela? — Oui, dit Jean, se décidant à prendre de bonnegrâce son parti des indiscrétions du curé. — Vous avez huit mille francs de rente. — A peu près, pas tout à fait. — Ajoutez à cela votre maison, qui vaut unetrentaine de mille francs. Enfin vous êtes dans uneexcellente situation, et on a déjà demandé votremain. — Demandé ma main?... Non! non! —- Si fait ! si
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