. Le Défenseur : journal religieux, politique et littéraire . Pape, par M. le comte de Maistre. Cet ouvrage estdu petit nombre de ceux qui font époque dans un siè est digne de la réputation de lauteur. Nous en rendronscompte Méditations poétiques , par M. de la Martine. M. dela Martine a résolu une grande question. La poésie estde toutes les époques , puisque même aujourdhui lesMéditations de M. de la Martine ont eu le plus grandsuccès. La première édition a été éjjuisée en huit seconde est sous Livres sapientiaux et les Petits Prophètes. Ces deuxtrad


. Le Défenseur : journal religieux, politique et littéraire . Pape, par M. le comte de Maistre. Cet ouvrage estdu petit nombre de ceux qui font époque dans un siè est digne de la réputation de lauteur. Nous en rendronscompte Méditations poétiques , par M. de la Martine. M. dela Martine a résolu une grande question. La poésie estde toutes les époques , puisque même aujourdhui lesMéditations de M. de la Martine ont eu le plus grandsuccès. La première édition a été éjjuisée en huit seconde est sous Livres sapientiaux et les Petits Prophètes. Ces deuxtraductions sont dignes de celles qua déjà publiéesM. Genoude. Nous parlerons bientôt de ces deux tra—ductioas nouvelles , qui se rattachent à une si belle en-treprise ( la traduction de la Bible entière ).On annonce comme devant paroître incessamment,le second volume de VEssai sur lIndifférence, si im-patiemment attendu. (TLtA* ^ v»lM^V^^*VV^^vv^v\^\^^*vwW^v^AV^^^^AA\^*vwv\^^•wv^^?«.•»?\v\^v*v»\\^^.^^^\\ LE Sur une nouvelle Traduction de la Bible , par31. Genoude. Toutes les nations de lEurope qui ont une litté-rature, possèdent, dans leurs langues, des traduc-tions de lEcriture sainte, où lon retrouve unepartie des beautés de loriginal. La France seule,privée jusquà présent de cet avantage, ne pouvoitni se déguiser son indigence, ni se lexpliquej-. Leschefs-dœuvre nombreux qui ont porté si haut sagloire, ne permettent pas dattribuer linférioritédont nous parlons, à la rareté du talent. On doit enchercher une autre cause, et nous croyons laper-cevoir dans cette raison parfaite, dans ce sentitnentexquis des convenances religit^uses et sociales, qui,développé par des institutions admirables, fornioit,chez les François, le trait le plus marque du carac-tère national. On avoit conçu que lenseignement, pour êtreutile, devoit être proportionné aux divers degrésdintelligence, et varier dans ses formes, selon quon


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