. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃANCE DU 13 NOVEMBRE 519 bablement formeront les figures en rosaces, mais que nous n'avons pas trouvées dans nos préparations. On peut suivre pas à pas la pénétration du flagelle dans le prolongement protoplasmique qui représente ici la membrane ondulante, jusqu'à ce qu'il arrive au bout du prolongement. Les divisions longitudinales sont possibles déjà à ces stades, comme on le voit sur nos figures. Déjà les premiers stades flagellés montrent les deux diplosomes avec deux racines flagellaires à côt
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃANCE DU 13 NOVEMBRE 519 bablement formeront les figures en rosaces, mais que nous n'avons pas trouvées dans nos préparations. On peut suivre pas à pas la pénétration du flagelle dans le prolongement protoplasmique qui représente ici la membrane ondulante, jusqu'à ce qu'il arrive au bout du prolongement. Les divisions longitudinales sont possibles déjà à ces stades, comme on le voit sur nos figures. Déjà les premiers stades flagellés montrent les deux diplosomes avec deux racines flagellaires à côté dublépharoplaste et du noyau. Des posi- tions réciproques que prennent dans ces stades le blépharoplaste et le noyau, il ressort clairement qu'il y a migration du blépharoplaste jusqu'à ce qu'il occupe la position caractéristique chez ces trypanosomides. Supposons que la forme flagellaire arrivée à se stade se prolonge un peu plus et nous aurons une des formes adultes décrites dans une note précédente. Enfin on voit aussi, quoique très rarement, les vrais kystes déjà bien décrits par Pathon. [Laboratoire de zoologie à VUniversité de Belgrade.) Sur la présence de nématocécidies cuEZ deux plantes phanérogames parasites, par Marcel Mirande. VHelerodera radicicola Greeâ" est le Nématode bien connu qui vit en parasite sur les racines d'un assez grand nombre de plantes où il pro- voque la formation de véritables galles. Vuillemin et Legrain (1), en étudiant les cécidies produites par ce parasite sur quelques plantes maraîchères cultivées au Sahara, ont aperçu, les premiers, la curieuse hypertrophie qu'il produit dans les tissus de la plante hospitalière. Au -voisinage des vers, certaines cellules, destinées normalement à devenir des vaisseaux, se transforment de bonne heure en utricules fortement renflées, en cellules géantes multinucléées,
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