. Embryologie, ou, Traité complet du développement de l'homme et des animaux supérieurs. Embryology; Embryology. SEGMENTATION. iS sentée figure 19 ; elle concorde presque entièrement avec la figure 5 d'OELLACHER. Au vitellus jaune gd, qui, soit dit en passant, ren- fermait beaucoup de substance amorphe interposée (voy. plus haut), succédait une zone de vitellus blanc à gros éléments ivd, laquelle passait insensiblement à une couche finement grenue bd, représentant la partie non segmentée du vitellus plastique. Quant à la portion de ce dernier, qui était intéressée par la segmenta


. Embryologie, ou, Traité complet du développement de l'homme et des animaux supérieurs. Embryology; Embryology. SEGMENTATION. iS sentée figure 19 ; elle concorde presque entièrement avec la figure 5 d'OELLACHER. Au vitellus jaune gd, qui, soit dit en passant, ren- fermait beaucoup de substance amorphe interposée (voy. plus haut), succédait une zone de vitellus blanc à gros éléments ivd, laquelle passait insensiblement à une couche finement grenue bd, représentant la partie non segmentée du vitellus plastique. Quant à la portion de ce dernier, qui était intéressée par la segmentation, elle figurait une couche de 0,14â¢^ d'épaisseur dans le milieu et était composée de granulations encore plus fines et plus régulières que dans l'autre partie. Sur ces coupes, les segments ss' n'étaient nulle part détachés intérieurement de la région sous-jacente ; ils étaient, au contraire, nettement - -; , séparés par des sillons perpendi- "''%^^^^ culaires des sphères avoisinantes ' ^ /' ^%^^ (/^). Pour ces sphères, c'était autre * ' chose; ce n'était pas seulement sur les côtés qu'elles étaient dis- tinctes l'une de l'autre, mais elles étaient aussi plus ou moins déli- mitées en dessous, vis-à -vis de la région non segmentée. Si, en cer- tains points, les sillons verticaux "'' ^ ^^^^^''" n'émettaient en bas que de courtes branches horizontales entre ces ^'° ~^^' sphères et la zone indivise du vitellus plastique, par ailleurs, ces branches ceignaient complètement les sphères qui parais- saient ainsi, même en dessous, complètement isolées. Pourtant, en'réalité, il n'en était réellement ainsi nulle part; partout, plutôt, les sphères demeuraient en relation par un pédicule, dans une plus ou moins grande étendue avec le reste du vi- tellus plastique. Il y avait dans plusieurs sphères des indices d'un c


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