. L'étang des soeurs-grises . Quelle situation !.., Tais-toi mon ange chéri, reprit-il tout haut, tu sauras cela plus elle ne sort donc jamais? â Qui ça? â â Denise, ta maman. â Non, elle ne veut pas, ou plutôt cest mon premier papa quile lui a défendu pour quelque temps, a-t-il On peut faire demauvaises rencontres à Paris,., car, tu sais, lui, cest le premier,je lai bien reconnu. Il y avait longtemps, longtemps quil étaitmon papa, quand cest toi qui les mais ça ne fait rien,cest toi que je préfère, et maman aussi. â Alors tu veux bien rester avec moi ? â Oh
. L'étang des soeurs-grises . Quelle situation !.., Tais-toi mon ange chéri, reprit-il tout haut, tu sauras cela plus elle ne sort donc jamais? â Qui ça? â â Denise, ta maman. â Non, elle ne veut pas, ou plutôt cest mon premier papa quile lui a défendu pour quelque temps, a-t-il On peut faire demauvaises rencontres à Paris,., car, tu sais, lui, cest le premier,je lai bien reconnu. Il y avait longtemps, longtemps quil étaitmon papa, quand cest toi qui les mais ça ne fait rien,cest toi que je préfère, et maman aussi. â Alors tu veux bien rester avec moi ? â Oh! oui, mais avec maman. â si tu devais rester sans la revoir? â Non! non! Je veux elle avec toi, ou retourner avec ! Jeté Je s&is bien où cest, va, ça sappelle laChaussé Et puis, jai changé de nom aussi. Je ne suisplus la petite Carini, comme on mappelait là -bas, je suis made-moiselle Du Tu sais, le nom est plus joli, il faudra map- LE DROIT DU MARI 417. Je suis à vos ordres. Vous voyez bien quil faut en finir! peler comme ç Et puis, il paraît que je serai marquise, quand^ j serai grande, comme , cest ma bonne qui lu dit. Quest-ce que cest que ça une marquise? Est-ce que tu es marquis, toiauii? Je ne les aime pas, parce que mon autre papa est marquis,et il a lair méchant. Pourtant, il rit toujours. Mais maman , comme toi à présent! Pourquoi pleures-tu?Tu nes donc pas 53»<î Liv. 53 418 LÃTANG DES SÅURS-GRISES content de revoir ta petite Denison, comme tu mappelais autre-fois ? Moi, je mennuie à Tout le monde pleure!.,. Allons-nous-en à la Viens chercher Et Caterina, oùest-elle? Je laimais bien aussi. Tu sais, elle mappelait : Piccina. BertrariJ sanglotait en lécoutant, lui baisait les mains, les bras,les joues, les yeux, croyant y sentir encore la douce chaleur etlhumidité tiède des baisers mate
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