. Bruxelles . tés du milieu oùelles voyaient le jour, il se heurtait fatalement à des oljstacles en quel-que sorte insurmontal:)les, sans compter que sa tecdinique servait insuffi-samment sa volonté. Laisant pour vivre des portraits, non touours dénués de mérite, mais(piil jugeait indignes de lintéresser, il se plaisait à faire a])pel au suffrage * Ce sujet fut plus tard repris par lartiste et fi;_iurc dans son musée. LES Q U A R T I !•: R S D V. 1/ F. S T 135 des foules par des exhibitions ])rivées dans des loraux obligeamment misà sa disposition et assez vastes ])our lui servir datelier. Sty


. Bruxelles . tés du milieu oùelles voyaient le jour, il se heurtait fatalement à des oljstacles en quel-que sorte insurmontal:)les, sans compter que sa tecdinique servait insuffi-samment sa volonté. Laisant pour vivre des portraits, non touours dénués de mérite, mais(piil jugeait indignes de lintéresser, il se plaisait à faire a])pel au suffrage * Ce sujet fut plus tard repris par lartiste et fi;_iurc dans son musée. LES Q U A R T I !•: R S D V. 1/ F. S T 135 des foules par des exhibitions ])rivées dans des loraux obligeamment misà sa disposition et assez vastes ])our lui servir datelier. Styliste brillant, il exposa ses idées dans ]>lus dun érrit où se révèleun penseur. Ce fut, pourrait-on dire, un autre Chenavard. que la gran-deur des aspirations emporta dans lincommensurable, et dont lesexcentricités mêmes nétaient ])as sans ncjblesse. Son a]:)préciation du rôlede lartiste, fort élevée sans doute, tenait du ]Kiradoxe. De tout celases œuvres témoio-nent abondammcmt. Ptiotu Neurdein. Le musée Wiertz. Ce fut en 1850 que. sur linitiative du ministre Rogier. lÉtat crutdevoir donner à cet inassimilable et une habitati(m et un atelier auxconfins du quartier Léopold. alors en voie de création. A la mort de lar-tiste, ses œuvres resteraient à lEtat. Telle est lorigine de ce muséeoù se confondent en un même tout des pages empreintes dune vraie gran-deur de conception et des bizarreries cj^ui amoindrissent quelque peu leurauteur et tendent à prouver c|uil fut. jusquà sa mort, arrivée en 1865, unromantique attardé. On trouve dans son atelier, des ]3eintures fi lhuile et dautres produitespar un procédé de peinture mate dc^nt lartiste était linventeur. Il rêvaitde les voir se substituer à la fresque. ])our la décoration monumentale,genre dont il était un partisan convaincu. On y voit également, un petit 136 lî nombre de sculptures, enfin cjuelques souvenirs personnels, mallieureuse-ment mal présentés. il V a là


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