Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . ains tertiaires. — Encycl. Les hipparions, uno des formes ancestralesde nos chevaux actuels, avaient trois doigts aux pieds,dont un grand au milieu, les deux autres réduits à dos sty-lets. Leurs débris se trouvent dans lo miocène de lEuropecentrale et orientale (hipparion gracile)^ ou dans le plio-cène (hipparion prostylum). Des chevaux ont parfois encoredes piods conformés ainsi ; tel fut le cheval dAlexandre(Bucéphale), et on en montre quelquefois dans les foires,comme le fameux cheval-hipparion de la foiro de Mu-nich (1860)
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . ains tertiaires. — Encycl. Les hipparions, uno des formes ancestralesde nos chevaux actuels, avaient trois doigts aux pieds,dont un grand au milieu, les deux autres réduits à dos sty-lets. Leurs débris se trouvent dans lo miocène de lEuropecentrale et orientale (hipparion gracile)^ ou dans le plio-cène (hipparion prostylum). Des chevaux ont parfois encoredes piods conformés ainsi ; tel fut le cheval dAlexandre(Bucéphale), et on en montre quelquefois dans les foires,comme le fameux cheval-hipparion de la foiro de Mu-nich (1860); etc. HIPPARQUE {i-park — du gr. hipparkhos; de hippos,cheval, ot arklios, chef) n. m. Commandant duno hippar-chie. (A Athènes, il avait sous ses ordres dix pfnjlarqiies,dont chacun commandait le contingent dune tribu.) Hipparque, lun des fils de Pisistrato, tyran dAthè;i|irs Il( , il régna conjointement avec son frèreHipiias, -irpuis ian 527 av. jusquà 514. Suivant Thu-cydide, ilipparquo nexerça jamais ao pouvoir effectif. Il. Meurtre dHipparquc. (Peinture de nen out pas moins un grand crédit. II protégea Simonide,Onomacrite, Anacréon ; il fit recueillir les poésies homéri-ques, et créa uno bibliothèque à Athènes. Il outragea dIIarmodios; doù lo complot et lattentat où pé {:,\.\ av. ). V. Hippias. Hipparque, philosophe grec(iv« s. av. ). Il fut loprécepteur dKnaminondas, et fit partie do lécole dos pv-thagoriciens, d où il fut exclu, dit Clément dAlexandrie,pour avoir enseigné on public, contrairement aux pres-criptions do Pythagore. 11 avait écrit un traité Sur le cou-rat/f, dont un fragment nous a été conservé par Stobée. Hipparque, le plus grand astronome de lantiquité,né, selon la tradition la plus répandue, à Nicéo, en Bithy-nie, vers lo milieu du ii« siècle av. Pline lappeflole Rhodien, parce que cest à Rhodes quil a écrit sesprincipaux ouvrages. Lo seul ouvrage d
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