Annales maritimes et coloniales . au large. Lescadre française sattendait peu à être attaquée. Lel août, quand lHeureux signala douze vaisseaux au large,lescadre était encore sur une seule ancre, sans embossures, etune partie des é([uipages à terre à faire de ieau. On rappelales canots à bord. Les frégates envovèrenl des hommes de leurbord pour renforcer les équipages des vaisseaux; larmée croisases perroquets, lamiral étant indécis sil mettrait à la voile o\\s il resterait à lancre. Les équipages étant faibles , il se décidaà ce dernier parti. Il sattendait à nêtre attaqué que le lende-main;


Annales maritimes et coloniales . au large. Lescadre française sattendait peu à être attaquée. Lel août, quand lHeureux signala douze vaisseaux au large,lescadre était encore sur une seule ancre, sans embossures, etune partie des é([uipages à terre à faire de ieau. On rappelales canots à bord. Les frégates envovèrenl des hommes de leurbord pour renforcer les équipages des vaisseaux; larmée croisases perroquets, lamiral étant indécis sil mettrait à la voile o\\s il resterait à lancre. Les équipages étant faibles , il se décidaà ce dernier parti. Il sattendait à nêtre attaqué que le lende-main; il fut détrompé par lapproche des Anglais. Il ordonnaalors de laisser tomber une seconde ancre de bossoir, et denporter une petite dans le S. S. E., ce quon neut pas letemps de faire. Cependant lescadre anglaise se préparait à lattaque. Desembossures et des ancres étaient dis[)Osé, Chaque vaisseauavait fait passer un câble par une des fenêtres de larrière, cï rOO ANNxVLES MARITIMES. ;r$ Ni)rd. cll^^f 7/.^^


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