Le Jardin des plantes : description . lle Hollande par le capitaine Du Petit Thniiars;ils nont [las de casque, cl leur plumage est jibis fourni, iiuoiipiemoins loin, toujoiir-- dans une division du même parc(.)9), nous 36 LE JARDIN DES PLANTES. voyons, autour iliin petit bassin, des grues de Numidie envoyeespar le docteur Clot-Bey, des pintades, des dindons, des sarcelleset des canards etrangers, tous dun plumage agreable. Viennentencore ((30j des casoars de la Nouvelle-Hollande, puis des niara-liouls, dont les plumes, duveteuses et légères, servent de parurede télé à nos dames,


Le Jardin des plantes : description . lle Hollande par le capitaine Du Petit Thniiars;ils nont [las de casque, cl leur plumage est jibis fourni, iiuoiipiemoins loin, toujoiir-- dans une division du même parc(.)9), nous 36 LE JARDIN DES PLANTES. voyons, autour iliin petit bassin, des grues de Numidie envoyeespar le docteur Clot-Bey, des pintades, des dindons, des sarcelleset des canards etrangers, tous dun plumage agreable. Viennentencore ((30j des casoars de la Nouvelle-Hollande, puis des niara-liouls, dont les plumes, duveteuses et légères, servent de parurede télé à nos dames, et enfin (Gl) des nandous ou autruches dA- fait dans le crâne , sans leur oter la vie. A côte delles sont deshérons pourpres, des bernaches armées, et autres oiseaux. Reprenons maintenant lallée droite que nous avons déjà par-courue , et arrivons à la grande rotonde (65). Là vivent la girafe ,léléphant et dautres grands mauuiiifères. Six petits parcs, quirayonnent autour de la rotonde, penncllent, quand la tcmpéra-. Le cèdre du Liban. mérii|uc, ditréiaut principalement de la véritable autruche parleur taille plus |)etilc et leurs pieds munis de trois doigts au lieude (hu\. luis(iue, en faisant le tour lie ce parc, nous sommes revenusvers la faisanderie, nous remarquerons à ni)tre gauche (Oâ), joi-gnant son cnccinle, le gazon sur lequel se proiiunent lourdementdes tortues, singuliers aniuiaux au\(piels il repousse un o;il quandon le leur a arraché, et dont on peut vider la cervelle par un trou tare est favorable, de faire prendre lair à ces animaux pour laplupart fort paisibles ; ces parcs correspondent à autant décu-ries dans lcs(|ucllcs ils sont logés, soign(s, et chaudes pendantliiivcr. Le prruiicr parc, à droite en regardant la porte de larotonde, renferme des luMuioin^s, dont nous avons déjà parlé; lesecond est celui de la girafe, (pii, lors([ueile arriva à Paris, étaitbeaucoup moins grande quaujourdhui. Elle fut envoyée à Char-les X ji


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