Annales de géographie . — Cduts deau. subordonnes — fbrties des cours deau, qui témoignent d accidents tedoniçues primaires= Cours d eau originels == Partùes des cours deau, oui témoignent daccidents teçtoriigues tertiaires. H. = Poste hydrométrique. — S. = S ation pluviométrique- Fig. 1. — Carte hydrographique du bassin du haut Cher. Échelle, 1 : 500 000. Une étude plus attentive, concentrée sur le Cher et ses affluents,1. G. de la Noë et Emm. de Margerie, ouvr. cité, p. 121; Atlas, pi xxxn, fig. 99. LE HAUT CHER, SA VALLÉE ET SON RÉGIME. 01 permet <le constater quà la direction S-N se sub


Annales de géographie . — Cduts deau. subordonnes — fbrties des cours deau, qui témoignent d accidents tedoniçues primaires= Cours d eau originels == Partùes des cours deau, oui témoignent daccidents teçtoriigues tertiaires. H. = Poste hydrométrique. — S. = S ation pluviométrique- Fig. 1. — Carte hydrographique du bassin du haut Cher. Échelle, 1 : 500 000. Une étude plus attentive, concentrée sur le Cher et ses affluents,1. G. de la Noë et Emm. de Margerie, ouvr. cité, p. 121; Atlas, pi xxxn, fig. 99. LE HAUT CHER, SA VALLÉE ET SON RÉGIME. 01 permet <le constater quà la direction S-N se substitue sur la Tardes,a partir du confluent de la Voueize, cl, sur le Cher, du poste hydro-métrique du Moulin du M;is jusquà la hauteur de Lignerolles, une direction N 30° E;au delà, le Cher se reprend à couler vers le N. Quant. o o O^ o o2 o o rtl ri r-tjS - tfl fc* 09 fl 3 <- 3 <Ct- tD S 0 o 3 O — J5 -! 09 ?§.§ 1= I 3-a à la Voueize, après avoir coulé au N jusquà Gouzon, elle tourne verslE pour rejoindre la Tardes. Le profil longitudinal du Cher depuis sa source jusquau pont deVallon (Allier) et celui de la Tardes, développés dans un même planvertical, permettent des constatations dun autre ordre (fig. 2). ANN. DE GÉOG. — XIVe ANNÉE. 26 K)2 GÉOGRAPHIE RÉGIONALE. a) Le profil de la Tardes se dessine au-dessous de celui du sensuit que le Cher est moins important que la Tardes, car « lescours deau ont une pente dautant plus forte que leur importance estmoindre»1. Il faut, en honne logique, considérer le Cher, jusquauconfluent avec la Tardes, comme laffluent de la Tardes. La nomen-clature est ici en contradiction avec les conditions génétiques delhydrographie. Cette discordance permet de constater, par voie indi-recte, la tendance qua eue, au Tertiaire, le Massif Central, a


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