. Les seins dans l'histoire . agellation nétait souvent que le préludedautres supplices, tel que lécorchement :Cambyse fit écorcher vif un juge prévari-cateur et ordonna de recouvrir de sa peaule siège sur lequel devait sasseoir le ma-gistrat pour rendre la justice ; mais la chronique ne dit pas si cest le dos ou la poitrine qui fut livré autapissier pour opérer cette macabre restauration. Un supplice, longtemps en vigueur dans les pays catholiques,était la mutilation des parties du corps les plus charnues, mamellessupérieures et inférieures, avec des tenailles rougies au feu. Aprèslarrachemen


. Les seins dans l'histoire . agellation nétait souvent que le préludedautres supplices, tel que lécorchement :Cambyse fit écorcher vif un juge prévari-cateur et ordonna de recouvrir de sa peaule siège sur lequel devait sasseoir le ma-gistrat pour rendre la justice ; mais la chronique ne dit pas si cest le dos ou la poitrine qui fut livré autapissier pour opérer cette macabre restauration. Un supplice, longtemps en vigueur dans les pays catholiques,était la mutilation des parties du corps les plus charnues, mamellessupérieures et inférieures, avec des tenailles rougies au feu. Aprèslarrachement, le bourreau versait dans les plaies béantes dusoufre fondu, de lhuile ou de la cire bouillantes, selon le capricede lordonnateur des hautes œuvres. Il nous reste à parler des châtiments mortels qui ajîpartiennentà lhistoire du lait ou de lallaitement. Les sauvages du Darien etde la Nouvelle-Grenade enterrent les enfants à la mamelle avecleur mère. A lépoque de la révolte des Strélitz, Pierre le Grand. 119. lJO LKS SEINS DANS 1, H I S 1 (» I H K fit infliger le môme supplice à deux femmes. Chez les Perses, lapeine de lauge consistait à enfermer le patient entre deux augesen pierre ou en bois: la tête seule sortait; on lenduisait dunepâte faite de lait et de miel et on Fexposait en plein soleil, pourêtre dévorée lentement par les mouches et les guêpes (1). Exercices gymniques et bains publics. — A Lacédémone,les Spartiates des deux sexes, dépouillés de leurs vêtements, seréunissaient sur la place publique pour se livrer aux exercicescorporels, sports, danses, institués par Lycurgue-. Cette nuditénéveillait aucune idée lascive et naltérait en rien la pureté deleurs mœurs, protégée, en quelque sorte, par leur ardent patrio-tisme. « Les filles de Sparte, dit Montaigne, nétoient pas nues,lhonnêteté publique les couvroit, » Plutarque (traduction dAm\ot)décrit et justifie les institutions gymnopédiques du grand législa-teur g


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