Des maladies des filles . X. De Pétat des Parties de la génération à la première apparition des Menflrues. 12^ Chap. XI. De tincontinence durine. Chap. XII. Du Sang des Menfiru^s. 130 ChAP. XIII. Vu Sang des Menfiruesdans les différens âges. Page 138Chap. XIV. Du Sang des Menjlruesqui pèche par défaut de ferofité. 147Chap. XV. Des Menfirues hilieufes. 1JJChap. XVI. Des Règlespituiteufes, 165Chap. XVII. Des Règlesféreufes, 112Chap. XVIII. Remarques fur • lesintempéries de Putérus^ les régléshilieufes, pituiteufes , &c. 17I Chap. XIX. De la Chlorofe, 184Chap. XX. Défaut d*écoulement desMenfirues
Des maladies des filles . X. De Pétat des Parties de la génération à la première apparition des Menflrues. 12^ Chap. XI. De tincontinence durine. Chap. XII. Du Sang des Menfiru^s. 130 ChAP. XIII. Vu Sang des Menfiruesdans les différens âges. Page 138Chap. XIV. Du Sang des Menjlruesqui pèche par défaut de ferofité. 147Chap. XV. Des Menfirues hilieufes. 1JJChap. XVI. Des Règlespituiteufes, 165Chap. XVII. Des Règlesféreufes, 112Chap. XVIII. Remarques fur • lesintempéries de Putérus^ les régléshilieufes, pituiteufes , &c. 17I Chap. XIX. De la Chlorofe, 184Chap. XX. Défaut d*écoulement desMenfirues par vice de ^ • 2S9 Chap. XXI. Des accidens qui naifjentde la putréfaBion du fan g menjirueldans la matrice , par défaut décou-lement. 311Chap. XXII. Des Règles qui pèchentpar défaut de quantité. 322Chap. XXIII. Des Pertes & des Règlestrop abondantes. 3?3Chap. XXIV. Dufuintement fangm-nolent ^ continué de la vulve. 343Chap. XXV, Des Règles prématurées, 3;i DES. D ES A L A D I E SDES FILLES. CHAPITRE PREMIER. De la Confdtuùon des Femmes* LjA ftature des femmes eftplus petit»que celle ^^^ hommes, je parle de la hau-teur : on a la preuve de cette vérité, enréunifiant un grand nombre dindividusde lune & de lautre efpèce pour les com-parer entre eux. La chair des premièreseft plus humide & plus molle. Le tiffucellulaire eft plus gorgé de liquides, ilparoît plus abondant dans les parties quicontiennent de grands amas de graifîe,Tome I, A 2 Des Maladies comme les cuifTes, les reins , le vifage& labdomen. Les extrémités font plusarrondies ; les os font beaucoup moins(lûllans & par conféquent les articulationsmoins apparentes. La peau des femmesefl: plus douce, ccft une fuite de la quan-tité de liquides contenus dans le tilTuadipeux & cutané. Il eft rare de voirune femme couverte de poil, cequiefltrès - commun parmi les hommes ro-buftes. Si les premières ont des cheveuxplus fournis bi plus longs, sils fe con-fervdesmala
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