Traité de gynécologie clinique et opératoire . revendiqué la prio-rité de cette pratique, et qui très vraisemblablement est le premier à lavoir mise enusage, vu la grande extension quil a donnée depuis longtemps au ^pincement desvaisseaux, ne la publiée quen 1886, dans la thèse de Gomet (De Vhystérectomie vaginaleen France, thèse de Paris, 1886). Buffet, dElbeuf (Gazette des hôp., 1886, n° 116) arapporté une observation datant du 19 juin 1885, où Péan avait employé la forcipressurede nécessité dans une hystérectomie pour un myxo-sarcome. Ce qui constitue lorigina-lité du procédé de Piichelot,


Traité de gynécologie clinique et opératoire . revendiqué la prio-rité de cette pratique, et qui très vraisemblablement est le premier à lavoir mise enusage, vu la grande extension quil a donnée depuis longtemps au ^pincement desvaisseaux, ne la publiée quen 1886, dans la thèse de Gomet (De Vhystérectomie vaginaleen France, thèse de Paris, 1886). Buffet, dElbeuf (Gazette des hôp., 1886, n° 116) arapporté une observation datant du 19 juin 1885, où Péan avait employé la forcipressurede nécessité dans une hystérectomie pour un myxo-sarcome. Ce qui constitue lorigina-lité du procédé de Piichelot, cest essentiellement lemploi systématique des pinces depréférence à la ligature, alors même que celle-ci est facile. pozzt. 26 402 LIVRE V. de façon à agir par leur extrémité, pinces-clamps de Polk, Ungrand nombre de chirurgiens, principalement en France, ont adoptéce procédé opératoire, qui me paraît avoir plusieurs inconvénients,dont les principaux sont : labsence de sécurité au point de vue hé-. JR8HI ;l Fig. 211. — Hystérectomie vaginale. Pincement du bord supérieur du ligament large aprèsbascule de lutérus (Péan). mostatique, la blessure possible de la vessie, de luretère, de lin-testin, enfin lobstacle apporté à une bonne antisepsie2. 5e temps. — Dans le but déviter la récidive en enlevant large-ment les tissus où elle pourrait se produire on a proposé de termi-ner lhystérectomie par la résection dune partie voisine du vagin oumême des ligaments larges. Richelot3 conseille la première, mômequand la paroi vaginale parait saine, et comme temps complémen-taire devenu très facile à la fin de lopération. Pawlik4, encore plusaudacieux, extirpe le paramelrium après avoir préalablement placé Sur la question de priorité soulevée entre Péan et Richelot relativement au pince-ment des ligaments larges, voir : Péan (Comptes rendus du Congrès français de chirur-gie, 1886, p. 588). — Richelot. (Nouvelle


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