. Journal d'agriculture pratique. suite de la non-exécution de deux réseaux secondaires, lepérimètre a été réduit â 18O00 hectares en-viron, dont XoOO arrosables. Ce périmètrecomprend les trois communes de lont-en-Hoyans, Auberive et Saint-Just dans le dépar-tement de liséré, et une vingtaine de com-munes dans celui de la Drôme. LE CAN.\L UIHISKIATION DE L.\ lîOURNE Lentreprise a traversé des difficultés fpiifaillirent en compromettre lexistence. Cenest pas quelle ait été mal administrée ; fiucontraire, « sa gestion a été pure, active,dévouée ), comme le constatait un rapiiorl deM. Krantz au S
. Journal d'agriculture pratique. suite de la non-exécution de deux réseaux secondaires, lepérimètre a été réduit â 18O00 hectares en-viron, dont XoOO arrosables. Ce périmètrecomprend les trois communes de lont-en-Hoyans, Auberive et Saint-Just dans le dépar-tement de liséré, et une vingtaine de com-munes dans celui de la Drôme. LE CAN.\L UIHISKIATION DE L.\ lîOURNE Lentreprise a traversé des difficultés fpiifaillirent en compromettre lexistence. Cenest pas quelle ait été mal administrée ; fiucontraire, « sa gestion a été pure, active,dévouée ), comme le constatait un rapiiorl deM. Krantz au Sénat en 1SS7. Mais les décon-venues surgirent de toutes parts. La bournene donna pas le débit qui était prévu : le dcbitminimum qui avait été calculé à 7 et demipar seconde et quon évaluait à 3 et demi dansdes cas extrêmes, descendait à en ISS.îet ne se relevait plus que dans des propor-tions insuftisantes; on en altrihua la cause ^ ^aafl. .\;^>r^iiti^ »y^ S- -* %C\- -. A 1 1 I 1 le ^ l Ni/a iiiv isT t I \all 1 la li un L à lexploilalion de grands massifs forestiprsdans les n)ontagnes que traverse la part, la perniéaliililé extrême dunepartie des terrains dans lesquels le canal etses branches avaient été creusés entraînnilune énorme déperdition dans le Iraiel. si hiinque parfois le sixième ù peine de leau em-pruntée à la rivière arrivait sur les terres àarroser. Dans de telles conditions, les arro-sants ne pouvaient affluer, et la Compagnieétait privée des ressources procurées parleurs redevances. La situation était donc critique. lîn raisonde limpossibilité où la Compagnie se trou-vait de parer à ces difficultés, une nouvelleloi intervint en 1887, pour mettre à la dispo-sition du ministre de lAgriculture une somme de 1 ÛOOO fr., en vue de lexécution destravaux détancliement et de la dé la Lyonne nécessaire pour compléter ladotation du canal et en assurer la
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