La vie de la Venerable Mere Marguerite Marie, religieuse de la Visitation Sainte-Marie du Monastere de Paray-le-Monial en Charolois, morte en odeur de sainteté en 1690 . par un exemple auffi iilufïre que le vo-tre. Cefojit ces rai fins y Madame y qui ont excité ma Jaiefperé que Votre Majesté voudroit bien texcufir en faveurdu motif. Votre ^le pour la gloire de Dieu î exige de vous y ^ vo^ E P I T R E. tre douceur , fidelle image de celle du Cœur de notre Sauveur qtu vous adore^, vous y engage. Ce Cœur divin fie rebute jamais ceuxqui sadrejfent à lut : // exauce leurs prières : il r
La vie de la Venerable Mere Marguerite Marie, religieuse de la Visitation Sainte-Marie du Monastere de Paray-le-Monial en Charolois, morte en odeur de sainteté en 1690 . par un exemple auffi iilufïre que le vo-tre. Cefojit ces rai fins y Madame y qui ont excité ma Jaiefperé que Votre Majesté voudroit bien texcufir en faveurdu motif. Votre ^le pour la gloire de Dieu î exige de vous y ^ vo^ E P I T R E. tre douceur , fidelle image de celle du Cœur de notre Sauveur qtu vous adore^, vous y engage. Ce Cœur divin fie rebute jamais ceuxqui sadrejfent à lut : // exauce leurs prières : il reçoit leurs foibleshommages : il excufe leurs défauts , // pardonne leur importunité.En vous dédiant cette Vie , Madame y fai ejperé que vous imiterte\ à mon égard ces nobles fentimens i -i^ quavec cette bontéque vous puife^ dans celle de Jçfus-Chrift y vous recevriez toutenfemble , iT t Ouvrage que fai t honneur de vous dédier ty lesaffurances rejpetîueufes du profond dévoilement avec lequel jeferai toute ma vie , DE VOTRE MAJESTES MADAME trcs-humbif &: rrci-olicï fcrvircur &. fujct^t JOSLPH, Evoque lie Soillons. DISCOURS. DISCOURS VIES MIRACULEUSES DES SAINTS, ET PARTICULIEREMENT SUR CELLE DE LA VENERABLE MERE MARGUERITE NI donnant au public la vie toute miraculeufe ^ t-de la vénérable Mère Marguerite, j éprouve la aircies vies mira-même crainte que reffentit autrefois le cele- &ieutmiSé.bre Theodoret , lorfquil entreprit décrire lavie admirable de S. Simeon Stylite. Luniversentier , difoit-il, eft témoin des prodiges que je vais racon-ter h Se cependant jappréhende de les écrire , de peur de li-vrer la vérité à la critique des hommes incrédules. Ils ontcoutume, continuë-t-il, de mefurer tout, félon le cours or-dinaire des chofes du monde j Se ce qui leur paroît palfer lesbornes des loix communes de la nature , ils le regardentcomme une fable, Narratiomm a^redi pertimcfco , îw veri- u/lap.^Jfi^^
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