. La doctrine des moeurs : qui represente en cent tableaux la différence des passions, et enseigne la manière de parvenir à la sagesse universelle . Aime la Vertu pour Tamourd*elle-même. DES MOEURS. ^S y»S /*X /*5 /H*^ /*f X Z»^ /M\ /«»N ^-t. V /* ^ />^N /W^ /W-X /WN / «^ //*N />A^ /M-^ 3j lii lii Sj Si i£ vil Sj S< vS< si/ Vw sèt lit»S W S* W S* fî W «cp o S o S •or •S o^ 3^ o^ 8* BXTLIC ATION de U feizjéme Figure. $1 de peur du fupplice , & non de peur da crime ,Tu tabftiens des trefors à ta garde commis ,Ta jufticc apparente cft indigne dcftime :J*c larcin neft pas fait, mais le
. La doctrine des moeurs : qui represente en cent tableaux la différence des passions, et enseigne la manière de parvenir à la sagesse universelle . Aime la Vertu pour Tamourd*elle-même. DES MOEURS. ^S y»S /*X /*5 /H*^ /*f X Z»^ /M\ /«»N ^-t. V /* ^ />^N /W^ /W-X /WN / «^ //*N />A^ /M-^ 3j lii lii Sj Si i£ vil Sj S< vS< si/ Vw sèt lit»S W S* W S* fî W «cp o S o S •or •S o^ 3^ o^ 8* BXTLIC ATION de U feizjéme Figure. $1 de peur du fupplice , & non de peur da crime ,Tu tabftiens des trefors à ta garde commis ,Ta jufticc apparente cft indigne dcftime :J*c larcin neft pas fait, mais le crime eft com-. mis. OU S ne pouvons plusignorer que la Vertuneft pas Vertu , 11 ellenagit 3 fi elle ne combat,& fi malgré le grandnombre des ennemisdont elle eft attaquée, elle ne demeurevidorieufc Voyons maintenant dequelle forte elle doit agir^ & par quelsmouvemens elle fe doit porter aux en-treprifes les plus difficiles. Le Peintrenous la fait voir dansunéloignement,qui xefufe en la perfonne dun de fe$. 1^4 L ^ DOCTRINE Adorateurs, les Couronnes qui lui fontoffertes. Elle nous protefte par cemag-vnanime refus, qu*elle trouve fon prixrn elle-même ^ & quelle feroit toujourstres-fatisfaite de fa Fortune ^ quand ilrjy autoit , ny ténx)ins pour voir fesadions , ny Héros pour les publier,ny Gloire pour en eftre la recompen-fe. Mais le Peintre ne seft pas conten-îé de nous montrer cette beauté toutenuèjpour nous la rendre encore plusaimable, Se nous embrafer plus du defir de fa polfeiîîon , illui oppofe tout ce quil y a de difformeôc de haïifable dans ces Ames lâches6c mercenaires, qui ne feroient jamaisdu party des Gens-debien , sil yavoit de la feureté dans celui des Mé-dians. Confiderez cette troupe dHy-pocrites de toutes conditions , de tousâges. Vous croiriez à leurs geftes ,quils font nez ennemis irréconcilia-bles de linjuftice & de Vinterefl. Ce-pendant ,ilsenglouti{rent des yeux cesvafes dOr, & ces facs dArgent,quonieur
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