. Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D. Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc. etc. lor ôCle fer ouvrent un chemin à la tyrannie. Obéir aux maeiftrats. r^fpe&er les loix , TT; ;aimer la patrie, n avoir qu une ambition non-ici bonnesnête, ignorer le luxe 6c tous les vices quilengendre : voilà fans doute ce qui fait les bon-nes mœurs, Or, légalité produit tous ces ef-fets : elle forme donc les meilleure cito*yens. ?*% mariu», 4JO Histoihb ^. ~r~ Dans une république formée fur ce mode*; Les bonnes, r, , \ 2 , . gmxnts font le, les


. Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D. Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc. etc. lor ôCle fer ouvrent un chemin à la tyrannie. Obéir aux maeiftrats. r^fpe&er les loix , TT; ;aimer la patrie, n avoir qu une ambition non-ici bonnesnête, ignorer le luxe 6c tous les vices quilengendre : voilà fans doute ce qui fait les bon-nes mœurs, Or, légalité produit tous ces ef-fets : elle forme donc les meilleure cito*yens. ?*% mariu», 4JO Histoihb ^. ~r~ Dans une république formée fur ce mode*; Les bonnes, r, , \ 2 , . gmxnts font le, les mœurs générales déterminent naturel-puW^dTs! ^ement ^es mœurs particulières; & les boi^jnés éducations fe font feules, comme en ef-fet elles doivent fe faire. Mais malheureufc-ment dans les républiques corrompues, lesmœurs générales ont plus de pouvoir encore;& les mauvaises éducations, qui fe font feu-les plus facilement que les bonnes y empi-rent dune génération à lautre. On fe plaint,on cherche des remèdes , on veut oppofecdes digues au torrent, qui fe déborde; eeftla fource quil faudroit M O B E K » 1. 471 CHAPITRE III. Idée générale des républiques dItalie* S Al voulu dans le chapitre précédent vouspréparer à juger par vous même chs républi-ques dItalie. Encore quelques réflexions gé-nérales ?> de vous pourrez deviner le fond deleur hiftoire. Ce nétoit pas dans les provinces du ro- ithepoay^tyaume de Napies , quil devoit le former des p^ Te formerrépubliques. Les peuples > de tous temps fub- q^, aTnsîêiugués Y setoient fait une habitude dobéir; & royaume 4*toujours enveloppes, dans des révolutions , ilsctoient entraînés par une force, qui ne leurpermettoit pas de sarrêter fur eux- mêmes j &cde penfer feulement quils pouvoient être li-bres, La ville de Napies avoit, à la vérité, con-nu la liberté, & elle en avoit confervé quel-ques-uns des privilèges fous les- rois Nor-mands : mais il ne lui étoic


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