Le theatre des Grecs . LESCOMEDIES DARISTOPHANE» Rij if f lifiiii iii ii LES COMEDIES. DARISTOPHANE- ^3stf8*: **& 3jS!*: *)2fe j3!*: */20Si*: vw1^LES ACHARNIENS. Comédie jouée la 6. année de la guerre duréloponnèfe, armée 3. de la 88. Olym-pyadet aux Fêtes Lenéènnes, fous lar-chonte fucceffeut dEuclides tfoit Euthy-tnene s/vivant laPréface Grecque JoitEu*thydemus^ félon Af Petit &PauUmier ,foit Scithodorus,félon Diodore. Lapreuve de cette date ejt tirée de lancienjiijet Gre c , <£• confirmée par les parolesmêmes dArijlophane y- que ion expofera» E fu;et de cette pièce regar-;de direc
Le theatre des Grecs . LESCOMEDIES DARISTOPHANE» Rij if f lifiiii iii ii LES COMEDIES. DARISTOPHANE- ^3stf8*: **& 3jS!*: *)2fe j3!*: */20Si*: vw1^LES ACHARNIENS. Comédie jouée la 6. année de la guerre duréloponnèfe, armée 3. de la 88. Olym-pyadet aux Fêtes Lenéènnes, fous lar-chonte fucceffeut dEuclides tfoit Euthy-tnene s/vivant laPréface Grecque JoitEu*thydemus^ félon Af Petit &PauUmier ,foit Scithodorus,félon Diodore. Lapreuve de cette date ejt tirée de lancienjiijet Gre c , <£• confirmée par les parolesmêmes dArijlophane y- que ion expofera» E fu;et de cette pièce regar-;de directement le bien pu-blic & lEtat entier. Le bue!du Poëteeft dengager Athè-nes à conclure la Paix avecLacédcmone 5 mais la conduite & le tourRiij. 3S>o LES ACHÀRNIENS,quil prend pour traiter une affaire dEtatil délicate, font fort énigmatiques. Il ya même, généralement parlant, beau-coup de bas comique, fur lequel il fautglifler légèrement, ou plutôt quil fautfupp rimer. Pour lintelligence du plan & des plusprécieux morceaux, il eft néceiïaire dereprendre les chofes dès leur fource ;cefVà-dire, de remonter au commen-cement de la guerre du Péloponnè des caufes contribuèrent à lallu-mer & à, lentretenir. Elles font dédui-tes dans-Tbucydide, & en partie dansle Pcrkles de Plutarque. Périclès- , une des meilleures têtes & des plusgrands Capitaines de? Athéniens, joua,un grand rôle dans cette guerre fi fu-nefte à toute la Gréée. Quelque brouil-lés que fufTent les intérêts, il lui eûtété aifé de tout pacifier. Mais loin desy prêter, on prétend quil fouffla lefeu de la difcorde., & quil fut luniqueauteur de cet incendie univerfel. Voicile fait, „ dont Ariftopha
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