. L'ombrelle--le gant--le manchon; . halliers : une ronce hardieLuy vint piquer la main, dont sescoula du sang,Lequel, depuis germé dans le fertile flancDe la mère commune, a donné la naissanceA la rose au teint vif, qui lui doit son depuis ce temps là, la fille de la mer,Vénus au front riant, sa main voulut armerContre chardons et ronces, et piquantes fit coudre, adonc de leurs esguiles finesAux Grâces au nud corps, un cuir à la façonDe ses mains, pour après les y mettre en trois Charités, sœurs à la flottante usèrent après ainsi que leur Maistre


. L'ombrelle--le gant--le manchon; . halliers : une ronce hardieLuy vint piquer la main, dont sescoula du sang,Lequel, depuis germé dans le fertile flancDe la mère commune, a donné la naissanceA la rose au teint vif, qui lui doit son depuis ce temps là, la fille de la mer,Vénus au front riant, sa main voulut armerContre chardons et ronces, et piquantes fit coudre, adonc de leurs esguiles finesAux Grâces au nud corps, un cuir à la façonDe ses mains, pour après les y mettre en trois Charités, sœurs à la flottante usèrent après ainsi que leur à comment Vénus nous inventa les Gands,Lesquels furent depuis communs à toutes pas du premier coup : Les seules damoisellesLong espace de temps en portèrent comme , les puissants Roys sen servirent puis toute leur court, puis tout le peuple aussi. Charmante dans sa naïveté, nest-il pas vrai,ma mignonne Amie, cette fable qui donne auGant une même origine que celle de la rose!. ^y- 8o Lusage des Gants était très répandu au moyen â recouvraient entièrement le poignet, même chez lesfemmes. « Les Gants des bourgeois, dit M. CharlesLouandre, étaient en basane, en peau de cerf, ou enfourrure; ceux des évêques étaient faits au crochet, ensoie avec fil dor, ceux des simples prêtres étaient encuir noir.— Mais ce qui vous surprendra cest que, con-trairement à ce qui se fait aujourdhui, il était absolumentdéfendu de paraître ganté devant les grands un manuscrit publié dernièrement, le Dit desMerciers, on voit un marchand sécrier dun air engageant : Jai les mignottes ceinturètesJai beaux gants à Damoiselè gants forrés, doubles et sanglesQue je vent à ces gentix famé Mais quétaient ces gants fourrés pour gentilles femmesà côté de ceux que les belles Vénitiennes montraient, lesjours de grandes cérémonies, lorsque le Doge sapprêtaità monter sur le Bucentaiire po


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