Au Rhin gaulois . naturelles dela France, et la Russie son ennemie in-directe par la sollicitation des deux au-tres et par ses projets sur lEmpire otto-man ; lAutriche, tant quelle ne seraitpas en rivalité avec la Russie, et la Rus-sie, tant quelle resterait en contact avecla Porte, seraient facilement unies parlAngleterre dans une alliance com-mune ; du maintien dun tel système derapports entre les grands Etats de lEu-rope naîtraient des causes permanentesde guerre ; les paix ne seraient que destrêves et leffusion du sang humain neserait que suspendue. « Il (Taileyrand) proposait déloignerlAu


Au Rhin gaulois . naturelles dela France, et la Russie son ennemie in-directe par la sollicitation des deux au-tres et par ses projets sur lEmpire otto-man ; lAutriche, tant quelle ne seraitpas en rivalité avec la Russie, et la Rus-sie, tant quelle resterait en contact avecla Porte, seraient facilement unies parlAngleterre dans une alliance com-mune ; du maintien dun tel système derapports entre les grands Etats de lEu-rope naîtraient des causes permanentesde guerre ; les paix ne seraient que destrêves et leffusion du sang humain neserait que suspendue. « Il (Taileyrand) proposait déloignerlAutriche de lItahe en lui ôtant lEtatvénitien, de la Suisse en lui ôtant le Ty-rol, de lAllemagne méridionale en luiôtant ses possessions de Souabe. De cettemanière, elle cesserait dêtre en contactavec les Etats fondés ou protégés par laFrance, et ne resterait plus en hostiliténaturelle avec elle. Pour surcroît de pré-caution, lEtat vénitien ne devait ^pasêtre incorporé au royaume dItalie, mais.


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