. . ium via tut a maris : Vent os cujlodit, & arc et^yEolus egreffu : prœflatque nepotibus œquor* les Alcyons. XXXIII. Ovid, XI, Metam, 2S9 AT*. A». ATA AT*. Jfl. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. A». AT*. AT*. AT*, AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*, AT*. ATi AT*. A& %¥ W ^ %S %.? Si? ^ ^ *»* W. LES ALCIONS. XXXIII. NE IN la Mer eft calme au cœur de iHyver,après avoir efté fi long-temps agitée. Le Ciel en:ferein, & les vents font retenus dans leurs antresfpacieux, doù nofant fortir, il femble quils fedépitent contre les rochers du mont q
. . ium via tut a maris : Vent os cujlodit, & arc et^yEolus egreffu : prœflatque nepotibus œquor* les Alcyons. XXXIII. Ovid, XI, Metam, 2S9 AT*. A». ATA AT*. Jfl. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. A». AT*. AT*. AT*, AT*. AT*. AT*. AT*. AT*. AT*, AT*. ATi AT*. A& %¥ W ^ %S %.? Si? ^ ^ *»* W. LES ALCIONS. XXXIII. NE IN la Mer eft calme au cœur de iHyver,après avoir efté fi long-temps agitée. Le Ciel en:ferein, & les vents font retenus dans leurs antresfpacieux, doù nofant fortir, il femble quils fedépitent contre les rochers du mont qui les enfer-me. Us murmurent autour de leur clofture : maisEole empefche quils ne séchappent, & refferrede prifons & de chaînes bruyantes tempefies. Il tient fon fceptreà la main pour modérer leur courage, & reprimer leur furie: car silne lefaifoit, ils font fi rapides quils ébranleroient la Terre & le Cielavec la Mer; & dun puiffant effort, ils les entraineroient avec euxpar levuide de lair. Les Alcions applaniiTent les flots, oupluftoft,la Mer devient tranquile, commeii elleportoit du refped à lanaiÊfance de ces petits Oyfeaux. Nappercevez-vous pas un nid allez pro-che du rivage quune haleine molle agite doucement fur leau ? Cefr,un chef-dœuvre de la Nature, que le malle & la femelle ont baftypour p
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