Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . Rerum Anglicarum fcriptores vcnditionis nullam faciunt mtntio- nem: exportatam ex Angliâ in Gennaniam ingcniem peiuniœ vim non dijfimulant, uli nec mf rates. Sommes doimées à Othon , Empereur, par les rois Jean. 212.) marcs, donnés par Richard aux Officiers de la courde page y14- îjcooo marcs, donnés à Oihon par Richard à fon départde France. page y 1 6. 500


Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . Rerum Anglicarum fcriptores vcnditionis nullam faciunt mtntio- nem: exportatam ex Angliâ in Gennaniam ingcniem peiuniœ vim non dijfimulant, uli nec mf rates. Sommes doimées à Othon , Empereur, par les rois Jean. 212.) marcs, donnés par Richard aux Officiers de la courde page y14- îjcooo marcs, donnés à Oihon par Richard à fon départde France. page y 1 6. 5000 marcs, donnés à Othon par le rci Jean, lorfquilalla en Angleterre, en 1208. page 7-27 8500 marcs, donnés aux députés envoyés par Othon, en \z\2. page jz^. «equifair,, 165625 marcs, qui étant. multipliés par 50 font 828 i2jo huit millions deux cents quatre-vingt-un mille deux cents cinquante livres de notre monnoie. Lempereur Othon ayant envoyé fon frère Henri, en 1209 , demander de^Yyiz à - Jtjfui, largent au roi Jean pour fon voyage de Rome, le roi Jean lui en donna.*^^^^ Matthieu Paris, qui dit que la fomine éiolt confidérable, ne la fpécifie pas. %^ ^ Propontide D E L 1 T T É R A T U R E. 747 MÉMOIRE SUR LÉTENDUE DE CONSTANTINOPLE,COMPARÉE À CELLE DE PARIS. Par M. dAn VILLE. LES villes, qui par leur rang & par une piùflànce Je longue Lu le rjdurée, fê font élevées fort au-defllis des autres, prennent -^^ iz^-t»dans limagination une étendue qui peut furpaffer la réalité. Ondifpute fouvent dans la coinparaifon quon veut faire des villesqui paroifient rivales par leur étendue. Il faut une dimenfioiipofitive du fol pour fixer lopinion convenable en pareil notes de Pancirok, fur la defcription de Conftanlinopîequi accompagne la Notice de lEmpire, fie ce que Gyllius, fie <^^ T/^-M. Du Lange, ont dilcute avec beaucoup de recherches dans Cat^gii. Cnnf-àts ouviages concernant cette ville Ip


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