L'Invasion de la mer . ssait de ce côté. Donc, impossibilité dapercevoir loasis de ( ïo-léah. Cest donc en vain que M. de Schaller, le capitaine Hardigan,leurs compagnons, se retournèrent vers lest, peut-être danslespoir dapercevoir le lieutenant se dirigeant vers cette partiedu chott. « Car, enfin, répétait lofficier, il nest pas douteux que Villettene soit arrivé hier soir à Golé Et, ne nous y rencontrant plus,trouvant notre campement abandonné, comment admettre quilne se soit pas immédiatement mis à notre recherche?.. — Sil na pas été attaqué lui-même, lorsquil remontait versloasis de


L'Invasion de la mer . ssait de ce côté. Donc, impossibilité dapercevoir loasis de ( ïo-léah. Cest donc en vain que M. de Schaller, le capitaine Hardigan,leurs compagnons, se retournèrent vers lest, peut-être danslespoir dapercevoir le lieutenant se dirigeant vers cette partiedu chott. « Car, enfin, répétait lofficier, il nest pas douteux que Villettene soit arrivé hier soir à Golé Et, ne nous y rencontrant plus,trouvant notre campement abandonné, comment admettre quilne se soit pas immédiatement mis à notre recherche?.. — Sil na pas été attaqué lui-même, lorsquil remontait versloasis de Gizeb,.. fit observer lingénieur. — Oui!., oui!., tout est possible, répondait Pistache, tout avecle Mézaki!.. Ah!., sil tombe jamais entre mes mains, je souhaitequil me poussé ce jour-là des griffes pour lui déchiqueter sapeau de coquin!.. » En ce moment, Sohar donna ordre de partir. Et le capitaineHardigan allant à lui : « Que nous voulez-vous?.. » demanda-t-il. LOASIS DE ZENFIG. 185. Sohar sarrêtait à Zenfig. (Page 187. Sohar ne répondit pas. « Où nous conduit-on?.. » Sohar se contenta de commander brutalement : « A cheval. » Il fallut obéir, et, ce qui lui fut particulièrement désagréable,M. François, ce matin-là, neut pas la possibilité de se faire labarbe. 24 186 LINVASION DE LA MER. A cet instant, le brigadier ne put retenir un cri dindignation : « Le voici!., le voici!.. » répétait-il. Et tous les regards se portèrent vers le personnage que Pis-tache désignait à ses compagnons. Cétait Mézaki. Après avoir conduit le détachement jusquà Gi-zeb, il avait disparu, et, pendant la nuit, il venait de rejoindre labande de Sohar. « Rien à dire à ce misérable! » ajouta le capitaine Hardigan,et, comme Mézaki le regardait effrontément, il lui tourna le dos. Et, alors, M. François de sexprimer ainsi : « Décidément, ce Targui ne parait pas être une — Jte crois! » répliqua Pistache, qu


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