. Annales des sciences naturelles . e peuvent, enaucune façon, être considérés commehépatiques, nous ne croyons pasdavantage quils appartiennent exclu-sivement aux régions Dïptychus et les Ptychogasternous montrent, en effet, avec unegrande netteté, la ligne de démarcation qui sert de limiteaux aires branchiales, et cette ligne se réunit en arrière avecla branche postérieure de la suture cervicale; bien plus, lesespèces transparentes des deux genres permettent aisémentdétudier les parties sous-jacentes, et ces parties se com-posent essentiellement de muscles qui sinsèrent sur l


. Annales des sciences naturelles . e peuvent, enaucune façon, être considérés commehépatiques, nous ne croyons pasdavantage quils appartiennent exclu-sivement aux régions Dïptychus et les Ptychogasternous montrent, en effet, avec unegrande netteté, la ligne de démarcation qui sert de limiteaux aires branchiales, et cette ligne se réunit en arrière avecla branche postérieure de la suture cervicale; bien plus, lesespèces transparentes des deux genres permettent aisémentdétudier les parties sous-jacentes, et ces parties se com-posent essentiellement de muscles qui sinsèrent sur lestéguments chitineux des lobes. Chez les Galathéinés, une dis-section, même superficielle, met également en évidence desfaisceaux musculaires; chez les ^gléinés et chez les Pagu-ridés il en est encore de même, mais les muscles sont pluspressés, quoique moins nombreux. Dans tous les cas, ceslobes servent plus ou moins complètement de toit aux cham-bres branchiales, et à ce point de vue peuvent conserver. 208 miil^e-EDllTARDi» et BOUVIER. leur nom de lobes branchiaux antérieurs ; mais ils ont enmême temps des rapports étroits avec la musculature ducorps, et présentent en cela des analogies assez frappantesavec les aires gastriques et hépatiques. Les deux lignes qui séparent, de chaque côté, les régionsbranchiales de laire cardiaque, présentent leur maximum denetteté chez les ^gléinéslTig. 10, p. 206), oii elles encadrentle polygone allongé qui constitue laire cardiaque propre-ment dite (C) ; les régions branchiales (B) sont en outre par-courues, dans la même sous-famille, par une ligne transver-sale supplémentaire qui présente des analogies éloignéesavec les lignes branchiales réticulées des Paguriens. Chezles Diptycinés (fig. M, p. 207), les deuxHgnes branchio-car-diaques sont nettes, quoique très peu profondes, souvent ellesse rapprochent beaucoup et parfoismême se touchent presque vers lemiheu de laire cardiaque, q


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