Introduction à l'étude des mollusques . Fig. 89. â Coupe transversale du pied deLyonsia, par lorifice de la cavité byssogène,X 25. I, glandes byssogènes; II. cavité dubyssus; III, orifice du byssus; IV, byssus;V, racines du byssus. â 138 â. Fig. 90. â Coupe transversale dun sillon dela cavité byssogéne de Alo iularia disfors,X 400; daprès Cattie. I, glandes bysso-gènes; II, épithélium de la cavilé hysso-gène; III, racines dubyssus; IV, sécrétiondes cellues byssogènes passant entre lescellules épitbéliales. rétracteurs) insérées symétriquement vers le bord dorsal des valve
Introduction à l'étude des mollusques . Fig. 89. â Coupe transversale du pied deLyonsia, par lorifice de la cavité byssogène,X 25. I, glandes byssogènes; II. cavité dubyssus; III, orifice du byssus; IV, byssus;V, racines du byssus. â 138 â. Fig. 90. â Coupe transversale dun sillon dela cavité byssogéne de Alo iularia disfors,X 400; daprès Cattie. I, glandes bysso-gènes; II, épithélium de la cavilé hysso-gène; III, racines dubyssus; IV, sécrétiondes cellues byssogènes passant entre lescellules épitbéliales. rétracteurs) insérées symétriquement vers le bord dorsal des valves,entre les deux adducteurs. Chez les formes les plus primitives, ces muscles sont très étendus dansle sens longitudinal et formentune série presque continue (cer-tains Protobranches). Ailleurs,ce sont surtout les quatre rétrac-teurs extrêmes qui sont biendéveloppés, les autres étant ru-dimentaires ou nuls (fig. 111).En général, les « Monomyaires »(à adducteur unique) nont con-servé que les rétracteurs posté-rieurs (fig. 113) ; ceux-ci nexis-tent même que dun côtédansdi-verses formes, fixéssurune valve(Peclen, où il ny a que le rélrac-leur gauche, fig. 119, devenuaussi nul dans P. magellanicus).Quand le pied se rÃ
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