. Médecine domestique, ou traité complet des moyens de se conserver en Santé, de guérir & de prévenir les maladies, par la régime & les remedes simples-- . doit adminïjlrery &c. 41*?âc beurre y &c. Sil veut quon lui pafTe quelqueboifTon plus forte, ce ne peut être que de Vaile oude la bière douce y laquelle eft moins échauffanteque le vin & les autres liqueurs fpiritueufes. ( Voyexci-devant page 417 de ce Vol.) NB. Nous ne parlerons point de Vinflammation Réflcxionides autres vifceres du bas-ventre. Elles doivent, ^^ linflam- I I t r • 1> \ I ? • mation des en gênerai, le traiter d après le
. Médecine domestique, ou traité complet des moyens de se conserver en Santé, de guérir & de prévenir les maladies, par la régime & les remedes simples-- . doit adminïjlrery &c. 41*?âc beurre y &c. Sil veut quon lui pafTe quelqueboifTon plus forte, ce ne peut être que de Vaile oude la bière douce y laquelle eft moins échauffanteque le vin & les autres liqueurs fpiritueufes. ( Voyexci-devant page 417 de ce Vol.) NB. Nous ne parlerons point de Vinflammation Réflcxionides autres vifceres du bas-ventre. Elles doivent, ^^ linflam- I I t r • 1> \ I ? • mation des en gênerai, le traiter d après les principes que autres vifce-nous venons dexpofer. ( En effet, il ny a pas de res du bas-remedes particuliers pour Y inflammation de la rate ^ inflammation de Yomentum j Xinflammation desmufcles du bas-ventre j &:c. ) La première règle àfuivre » relativement à chacune delles, eft dévi-ter tout ce qui eft de difficile digejlion 8ç de natureéchauffante ; dappliquer des fomentations chaudesfur la partie affedée, de de faire boire zvf. maladeune quantité fuffifante de ti/ane chaude, délayant,te y ô Dd 3 4*1 11 Pab-tië, Chap. XX, §. I, Art. I. CHAPITRE XX. Du Choiera Morbus y ou Trouffe-Galantidu Dévotement ; du Cours de ventre, ouDiarrhée, ù du l^omi(fement. Du Choiera Morbus ^ ou Troujje-Galant*Carafteres B £ chokra morbiis eft une évacuation exceflîvQ de cette Ma- 1 i o i j Ijjiç M i par haut & par bas, accompagnée de tran- chées j, ^anxiétés & denvies perpétuelles dallerà la garde-robe. Cette Maladie prend fubite-ment : elle eft plus commune en automne quedans les autres faifons de lannée j (fur-tout sil afait de grandes chaleurs, & sil ny a pas eu desfruits dété, dont lufage tempère Vâcretéputrcfcentede la bile. ) Elle eft très-aguë : il neft gueres de Ma-ladies qui emportent plus promptement le maladeque celle-ci, quand on nemploie pas à temps lesremèdes convenables. ( Les gens les plus robuftesy fuccombent qu
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