. Beitrge zur Kryptogamenflora der Schweiz. 118 races. II n'y a donc plus aucim doute ä ce sujet et mes experiences negatives prouveraient simplement que l'iine des races seule est tres frequente ä Geneve. Formes anormales du Rhizopus nigricans. Les formes anormales chez le Rhizopus nigricans sont assez fre- quentes, elles presentent quelque interet en ce sens que certaines d'entre elles rappellent les formes caracteristiques pour d'autres es- peces du genre Rhizopus. II n'est pas rare de rencon- trer dans les cultures des stolons dont les extremites se terminent par un sporange. J'ai pu, en o
. Beitrge zur Kryptogamenflora der Schweiz. 118 races. II n'y a donc plus aucim doute ä ce sujet et mes experiences negatives prouveraient simplement que l'iine des races seule est tres frequente ä Geneve. Formes anormales du Rhizopus nigricans. Les formes anormales chez le Rhizopus nigricans sont assez fre- quentes, elles presentent quelque interet en ce sens que certaines d'entre elles rappellent les formes caracteristiques pour d'autres es- peces du genre Rhizopus. II n'est pas rare de rencon- trer dans les cultures des stolons dont les extremites se terminent par un sporange. J'ai pu, en outre, remarquer dans quelques-uns de ces cas, ä une certaine distance de ce sporange terminal, de pe- tites ramifications laterales qui sont egalement terminees par des sporanges plus petits (Fig. 42 a). D'autres fois, le develop- pement du sporange terminal s'arrete et de l'extremite plus ou moins renflee emergent de nouveaux sporangiophores nor- Pig. 43. Filaments corticants sur des maux (Fig. 42 h). Vuillemin^), sphoraiigiophores anormaux ^^ ^^^^. ^ observe et figure du Blnzopus nigricans. ' ^ des formes anormales semblables et les attribue aux conditions de culture, ä Taction des milieux artifi- ciels et aux conditions de temperature. Les formes figurees (Fig. 42) rappellent les nodosites tres fre- quemment observees chez le R. nodosus. On doit les considerer comme des sporanges avortes qui ont prolifere en donnant de nou- veau naissance ä des sporangiophores. Nous avons vu plus haut que des ramifications irregulieres sont assez frequentes chez le R. parasiticus pour que Lucet et Costan- tin aient cru devoir faire de cette espece un genre special. Ce qui est exceptionnel chez R. nigricans peut donc prendre la valeur d'un caractere specifique chez d'autres especes. J'ai rencontre, enfin, de curieuses ramifications renflees en mas-. '^ Vuillemin, Revue mycologique 1902, vol. XXIV, n° Please note that these images are extracted from scanned page images that may have
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