Traité d'hygiène . nant alors les corps so-lides arrêtés), soit endedans dune fosse fixeelle-même. Lappareil secompose dune cuve enciment armé contenanttout dabord un filtre àcailloux ne laissant pas-ser de bas en haut queles liquides, puis unecloison médiane ne des-cendant pas jusquen baset formant chicane. Au-dessus du deuxième compartiment, se trouve un bac contenant unesolution désinfectante (de la créoline de Pearson ou de lokol), oùpuise une cuillère manœuvrée par un flotteur établi dans le premiercompartiment (appareil auto-verseur), laquelle déverse dans ce der-nier ce quelle a puisé d


Traité d'hygiène . nant alors les corps so-lides arrêtés), soit endedans dune fosse fixeelle-même. Lappareil secompose dune cuve enciment armé contenanttout dabord un filtre àcailloux ne laissant pas-ser de bas en haut queles liquides, puis unecloison médiane ne des-cendant pas jusquen baset formant chicane. Au-dessus du deuxième compartiment, se trouve un bac contenant unesolution désinfectante (de la créoline de Pearson ou de lokol), oùpuise une cuillère manœuvrée par un flotteur établi dans le premiercompartiment (appareil auto-verseur), laquelle déverse dans ce der-nier ce quelle a puisé dans le bac. Enfin la vidange du liquide se fait par intermittences au moyendun siphon de chasse établi dans le deuxième compartiment: on Siphon dilucur LafTorgue. 254 ED. IMBEAUX. — ÉVACUATION DES IMMONDICES LIQUIDES. a la prétention de nenvoyer à légout quun liquide désinfecté.Aucun de ces appareils ne mérite véritablement dêtre interposé Niveaumaximum ^ Départ du^liquide à légoût. Départ duliquidée légoût Fig. 87. — Collecteur sanitaire de Harven. AA, cuve du collecteur ; BB, filtre à cailloux ou à coke fin : C, siphon déva-tion automatique ; D, récipient à liquide désinfectant : FG, conduit pouvantpivoter autour de laxe E ; FF, cuillers aux extrémités de ce conduit pourprendre Det retenir dans la cuve le désinfectant : G, flotteur : N, cloison médiane :T, sortie du trop-plein (pour le cas daccident) : V, orifice dair. entre le tuyau de chute et légout public : ils ont tous linconvénientde retenir les matières solides fermentescibles sous la maison. 3° DESTRUCTION ET STERILISATION DES MATIERESPAR LA CHALEUR. La stérilisation des matières fécales par les procédés chimiquesétant difficile, on a cherché à lobtenir par la chaleur. Il y a une CONSERVATION DES MATIÈRES. 15—255 vingtaine dannées déjà, Scheiding(l) proposa un Feuerabtritt, com-posé dun fourneau pour comburer les parties solides des fèces etdune p


Size: 1446px × 1729px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bo, bookcentury1900, bookdecade1900, booksubjectsant, bookyear1906