. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... ulaire des lèvres. clusion et douverture de larrière-cavité nasale, larésonance vocale, qui concourt infiniment ainsi àla déleimination du timbre sur la note, la voyelle,la consonne ou la syllabe émise, qui tend ensomme,comme nous lavons dit déjà, à déterminer avec lecoloris, la physionomie de la voix aussi bien dansla tonalité que dans la formation verbale. Il nest pas certain que les résonateurs vocaux(bouche, nez, pharynx) soient comparables même detrès loin aux résonateurs de HiiLiinoLTz. Les faits misen évidence par les rés
. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... ulaire des lèvres. clusion et douverture de larrière-cavité nasale, larésonance vocale, qui concourt infiniment ainsi àla déleimination du timbre sur la note, la voyelle,la consonne ou la syllabe émise, qui tend ensomme,comme nous lavons dit déjà, à déterminer avec lecoloris, la physionomie de la voix aussi bien dansla tonalité que dans la formation verbale. Il nest pas certain que les résonateurs vocaux(bouche, nez, pharynx) soient comparables même detrès loin aux résonateurs de HiiLiinoLTz. Les faits misen évidence par les résonateurs de laboratoire sont 79G ENCYCLOPÉDIE DE LA MUSIQUE ET DICTIONNAIRE DU CONSERVATOIRE dune trop crande simplicité pour quil soit permisdy chercher une explication précise des actes vibra-toires inliniment complexes qui saccomplissent dansles cavités musculo-élastiques buccales, nasales etpharjTigiennes, changeant à tout instant de forme,douverture et de consistance des parois durant laformation verbale, cavités parcourues par une. FlG. 79. — I-OHMATIUN VEKUALE liT TIMBRlî, ARTICULATION NASALE ET uucCALE DE LA PAROLE. — AtlUude vocule ik 1. Asupijiieur, muscle innominé dont les fibres sétcndenl en bas jusquil la muqueusegingivale; O, muscle Iransveise ou Irianïulaire rlii nez; C, muscle ililatateur îlela narine; E, élévateur commun superficiel de laile du nez et de la lèvre supé-rieure; U, élévateur commun profond; li. orbiculaiTC des lèvres; A inférieur,muscle biicciMiileur; H, petit zygomaliquc; U, muscle caiTé du menton; L,muscle triangulaire des lèvres. colonne aérienne ani mée dune vitesse variable, régléepar une pression à tout instant dilférente. Néaniiioins,nous allons voirque la praliquerépoTidà la tliéorie. Principe physiologique. — Chaque voijellr, con-sonnf, sijUabi:, mot, pour rhiHscr la snnoiilé la pluscomidile, correspond à un son, et à un son diapason. Ce premier principe, relalif au timbre et à
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