Traité de gynécologie clinique et opératoire . es que ceux que voulait sup-primer cette hypothèse. 1 A. Frankel. Ueber Bermoïdeysten der Ovarien und gleichzeitige Dermoide in Perito-neum {Wiener med. Wochenschr, 1883, n° 28 et suiv.) 2 Olshausen. Loco citato, p. 404. 3 LA-NNELnîwîUE et Achard. Loco citalo, p. 128. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES KYSTES DE LOVAIRE. 711 IV. Kystes parovariens. Au point de vue pratique, il est im- Kystespossible de séparer radicalement les kystes de la région ovarienne Parovanens-indépendants de lovaire, des kystes de lovaire proprement , quoique les kystes d


Traité de gynécologie clinique et opératoire . es que ceux que voulait sup-primer cette hypothèse. 1 A. Frankel. Ueber Bermoïdeysten der Ovarien und gleichzeitige Dermoide in Perito-neum {Wiener med. Wochenschr, 1883, n° 28 et suiv.) 2 Olshausen. Loco citato, p. 404. 3 LA-NNELnîwîUE et Achard. Loco citalo, p. 128. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES KYSTES DE LOVAIRE. 711 IV. Kystes parovariens. Au point de vue pratique, il est im- Kystespossible de séparer radicalement les kystes de la région ovarienne Parovanens-indépendants de lovaire, des kystes de lovaire proprement , quoique les kystes dont je vais parler ne soient pas en réalitédeskystes de Vovaire, puisque anatomiquement-ils en sont distincts,il convient de les décrire en môme temps que ceux-ci, en tenantcompte de leur étroite solidarité clinique et chirurgicale. Un ensemble de caractères réunis dans cette espèce de kystes enfont un groupe très défini. On les désigne habituellement sous lenom de kystes du parovarium ou de Vorgane de Rosenmùllerl, parce. Fig. 355. — Kyste uniloculaire parovarien du ligament large. On voit, en haut et à gauche, lovaire, tout à fait indépendant, incisé. La trompe, allongée, sétale à la surface du kyste (Doran). que leur lieu dorigine évident dans le ligament large, où ils sontinclus, correspond assez exactement au siège de ces vestiges embryon-naires, et quà la spécialité de structure il a paru naturel dassignerune genèse spéciale. Toutefois, il nest nullement démontré queles kystes uniloculaires a paroi mince et à contenu transparent duligament large soient toujours nés du parovaire. A. Doran2 a ob-servé et figuré des pièces qui sont contraires à cette théorie^ Ilincline à les considérer comme de simples kystes lacuneux ou hy-gromas sous-séreux de Vernenil. Mangin3 croit aussi quils pour-raient se développer simplement dans le tissu connectif, indépen-damment du parovarium. De Sinéty4 considère comme très dou- 1 Follin.


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