. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. Fig. 31. â yoLarchus punclalus ; coupe longitudinale (d'après Pel- seneer). dorsal se ivduit bientôt au manteau (nofrnm). Mais si la cavité palléale a disparu, il n'en est [las de même des organes palléaux i|ui ont sulisisté pour la plupart. Seul l'ospliradion n'existe plus, étant devenu inutile parsuite de la suppression de la cavité palléale. Du reste celle-ci a été remplacée en réalité par le sillon palléo- pédieux droit qui peut constituer un véritable canal
. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. Fig. 31. â yoLarchus punclalus ; coupe longitudinale (d'après Pel- seneer). dorsal se ivduit bientôt au manteau (nofrnm). Mais si la cavité palléale a disparu, il n'en est [las de même des organes palléaux i|ui ont sulisisté pour la plupart. Seul l'ospliradion n'existe plus, étant devenu inutile parsuite de la suppression de la cavité palléale. Du reste celle-ci a été remplacée en réalité par le sillon palléo- pédieux droit qui peut constituer un véritable canal lorsque les bords du pied se relèvent vers le manteau (fig-. 12, A). Or en avant de ce sillon se trouve le rbinophore droit qui est en forme de cornet {i\^. 32) et que l'eau doit traverser dans toute sa longueur avant d'ar- river à la brancbie. Le rbinophore doit remplir vraisemblablement la même fonction que l'osphradion, car chez tous les Pleurobranchéens l'osphradion a disparu, sauf toutefois chez le genre Tiilodina que l'on a coutume de considérer comme étant le plus primitif de ce groupe a du reste montré que le développement des rhino- phores et le développement de l'ospliradion chez les Opistho- branclies sont toujours en rap- port indirect l'un avec l'autre. Si l'on étudie la série des Pleurobranchéens en partant du plus primitif pour remonter jus- qu'au plus diflérencii", on cons- tate que malgré la disparition de la cavité palléale et de la coquil- le, le manteau n'en subit pas moins un dt'veloppement de plus en plus considérable. Ceci n'a plus lieu de nous étonner d»'[)llis rjue UE LaCAZK-Di TUIKHS (1859), dans son important mé- moire sur le Pleurobranche; a montré l'importance f|ue joue le riianicaii dans la i'('s[)ii"ili( Nudibranches. In |)as (II- Fig. 'M. â Moitié îintiTicuri' droite grossie d''-r/n(H.'{ iiirnilirantireus : r
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