. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 814 A. MINET. â L'ÃLECTROMRTALLURGIE DE L'ALUMINIUM Pendant tout le Lemps de l'expérience, le niveau du hain est maintenu constant par l'addition d'un mélange de clilorure de sodium et de lluorure double d'aluminium et de sodium aux proportions indiquées plus haut. II Nature et dimensions du vase oui contient l'élec- trolyte; nature et dimension des électrodes. âUn éleclrolyte étant donné, il fallait établir un vase et des électrodes qui satisfissentà certainesconditions. La cuve ou vase qui renferme l'é


. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 814 A. MINET. â L'ÃLECTROMRTALLURGIE DE L'ALUMINIUM Pendant tout le Lemps de l'expérience, le niveau du hain est maintenu constant par l'addition d'un mélange de clilorure de sodium et de lluorure double d'aluminium et de sodium aux proportions indiquées plus haut. II Nature et dimensions du vase oui contient l'élec- trolyte; nature et dimension des électrodes. âUn éleclrolyte étant donné, il fallait établir un vase et des électrodes qui satisfissentà certainesconditions. La cuve ou vase qui renferme l'électrolyte doit être inattaquable par les sels en fusion; outre qu'une détérioration nuirait à la constance du bainen y apportant des éléments étrangers, la cuve de ce fait serait rapidement mise hors d'usage. Or, aucune substance, hormis le charbon, ne ré- siste à l'action corrosive des fluorures fondus. Le problème, ainsi posé, a été résolu de deux façons. On a adopté, en premier lieu, une cuve métal- lique (fonte) ayant la forme d'un parallélipipède, dont les arêtes présentaient une longueur variant entre 20 et 40 centimètres, suivant l'intensité du courant lancé dans l'électrolyte, intensité qui dans les premières expériences a varié entre 89 et ampères. Cette cuve, quelle que soit le métal quila consti- tue, serait invariablement attaquée par le bain, sans l'artifice physique que représente la figure 1. La cuve V est, revêtue d'une garniture en ma-. Fig. 1. çonnerie MM qui la protège contre l'action des ga? chauds qui l'enveloppent. Les électrodes (A, positive ou anode ; D, néga- tive ou cathode) sont constituées do charlion ag- gloméré dont la composition est analogue à celle des charbons à lumière. Immédiatement sous la cathode, est disposé un petit creuset ce, qui reçoit le métal fondu au furet à mesure


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