Archive image from page 284 of Dictionnaire de physiologie (1913). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph1001rich Year: 1913 LUMIERE. PhotobactÃrium sarcopliilum Dubois. Beijerincr (9) a proposà de rÃunir toutes les espèces dans le seul jenre PhotobactÃ- rium. Mais Fischer a combattu cette proposition et critiquà la rlassification de Beijf:- RiNCK basÃe sur la physiologie. D'après R. Dubois, des individus primitivement immobiles peuvent devenir mobiles par l'acquisition de cils. (Fig. 110.) La forme la plus commune est celle de bactÃries en forme de biscuit ou de semelle. (Fig. 1


Archive image from page 284 of Dictionnaire de physiologie (1913). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph1001rich Year: 1913 LUMIERE. PhotobactÃrium sarcopliilum Dubois. Beijerincr (9) a proposà de rÃunir toutes les espèces dans le seul jenre PhotobactÃ- rium. Mais Fischer a combattu cette proposition et critiquà la rlassification de Beijf:- RiNCK basÃe sur la physiologie. D'après R. Dubois, des individus primitivement immobiles peuvent devenir mobiles par l'acquisition de cils. (Fig. 110.) La forme la plus commune est celle de bactÃries en forme de biscuit ou de semelle. (Fig. 109.) Les classifications proposÃes, en particulier celle de , seraient, d'après MoLiscH (6, p. 85), certainement provisoires. Leur polymorphisme et leur polybiose s'opposent à toute classification morphologique ou physiologique ra- tionnelle (R. Dubois). Certaines BactÃries changent de forme sans perdre le pouvoir photogène; d'autres, au contraire, peuvent cesser de briller tout en con- servant leur forme suivant le milieu, l'âge, etc. (R. Dubois, 7, p. 17). La fonction photogène n'est donc pas liÃe à une condition essentielle de la vie de ces petits organismes. Ãtat naturel des photobactcries. â Les Photobac- tÃries se trouvent dans l'eau de la mer et principa- lement à la surface de beaucoup d'animaux marins qu'elles rendent phosphorescents quelques heures après qu'ils sont morts. En 1886, R. Dubois enferma dans des bocaux stÃrilisÃs des poissons pÃchÃs en pleine mer : au bout de trois jours, ils Ãtaient phosphorescents (7, p. 11) : mais c'est PflCger qui, en 1875, Ãmit le premier l'idÃe que la phosphorescence des Poissons morts devait être le rÃsultat de l'actività de micro- organismes particuliers. F. Ludwig, en 1884, attribua à un même microbe la luminosità des Poissons, de la viande et même des bois lumineux : il lui donna le nom de Micrococcus Pftugeri. Les Poissons d'eau douce : ne deviennent pas spon- tan-


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