. La loque chez les abeilles [microforme]. Bees; American foulbrood; Abeilles; Loque américaine. â 4 Vn excellent iiKiyen de diffusion de maladie c'est le pillage. Tous les apiculteurs savent <iue les abeilles ont la tentation d'aller chercher le hien d'autrui lorsqu'il n'y a pas beaucoup à amasser dans les champs. Ne JAMAIS LAI88EK KAIRE LE PILLAGE surtout si l'on soupçoime de lil lo(|Ue à quelque part. Encore. Il arrive souvtMit que l'apiculteur est, sans s en douter, une cutîse très efficace de contamination. Au terap.^ de l'extraction, il chaiiKe leb rayons de ruches après en avoir
. La loque chez les abeilles [microforme]. Bees; American foulbrood; Abeilles; Loque américaine. â 4 Vn excellent iiKiyen de diffusion de maladie c'est le pillage. Tous les apiculteurs savent <iue les abeilles ont la tentation d'aller chercher le hien d'autrui lorsqu'il n'y a pas beaucoup à amasser dans les champs. Ne JAMAIS LAI88EK KAIRE LE PILLAGE surtout si l'on soupçoime de lil lo(|Ue à quelque part. Encore. Il arrive souvtMit que l'apiculteur est, sans s en douter, une cutîse très efficace de contamination. Au terap.^ de l'extraction, il chaiiKe leb rayons de ruches après en avoir extrait le miel, si ces rayons jwrtent «juel- ques mauvais germes on comprend facilement (luelle en sera la suite natu- relle. , Il peut fort bien arriver qu'on n'enlève pas de bonne heure les ruches des colonies qui sont mortes pendant l'hivernement. Au printemps, les abeilles à leur première sortie visitent ces ruches vides même au riscjue d y cueillir les germes de la loque. Lorsqu'on a des abeilles italiennes et des noires, si les ruches sont voisines, avec beaucoup de ressemblance, et les entrées dans la même di- rection, on constate que les abeilles des deux ruches changent de demeure en nombre plus ou moins grand. En changeant elles peuvent apporter du miel contaminé, et par suite . Chers lecteurs, si vous aviez sous les yeux un rayon dont le couviim est à moitié ruiné par la loque, voua verriez que le couvain mort est groui)é par plaques plus ou moins grandes, lorsqu'à côté il y a des plaques de rouvam parfaitement sain et dont les abeilles seront parfaitement dé|)ées. De cjuoi cehi provient-il ? On a remarqué que les abeilles t uceni le sirop d'une abeille morte et s'en servent pour nourrir les larves vouâmes. 11 me semble qu'il y a là une explication bien raisonnable de ce fait que les l;ir\t's meurent en groupes serrés. (Fiçi. 1) Le miel n'est pas la de diffusion de la loqu«' Il est arri
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