Cologne . o, femme dOthon II. dont leffigie en or repous ilèbre Evangéliaire dEchternach du Musée de Gotha. Mais si étrange que cela paraisse, Cologne ne possède aucun monument important i it primitii : cest tout au plus si on peut signaler, à Saint Séverin, une plaque ronde avec une figure de saint ! i hamplevé qui provient probablement dune chasse disparue. Lecentre de lémaillerie colonaise auxn sii été < ibbaye de Saint- Pantalé deux maîtres les plus connus de cette Ecole sont maître Eilbertus « nsis Frater Albertus qui a signé lautel portatif du I r< •- sor des Welfes appartena
Cologne . o, femme dOthon II. dont leffigie en or repous ilèbre Evangéliaire dEchternach du Musée de Gotha. Mais si étrange que cela paraisse, Cologne ne possède aucun monument important i it primitii : cest tout au plus si on peut signaler, à Saint Séverin, une plaque ronde avec une figure de saint ! i hamplevé qui provient probablement dune chasse disparue. Lecentre de lémaillerie colonaise auxn sii été < ibbaye de Saint- Pantalé deux maîtres les plus connus de cette Ecole sont maître Eilbertus « nsis Frater Albertus qui a signé lautel portatif du I r< •- sor des Welfes appartenant au dur de Cumberland et son successeur le ! redericus auquel on attribue lAntependium de Sainte Ursule, irdhui conservé au Musée «lart industriel. Les églises de Sainte- S nurgasse et de Sainte-Ursuli lent deux des œuvres LART ROMAN A COLOGNE 51 lesplus importantes sorties de cet atelier de Saint-Pantaléon : la châssede Saint Maurin et la châsse de Sainte Ursule. Dans ces monu-. ments dont les côtés sont décorés darcatures cintrées reposant sur despilastres en émail, on voit apparaître deux tendances contraires : unetendance picturale qui consiste à employer la technique de lémail pour COLOGNE les grandes figures décoratives, telles que les solennelles figures dar-changes qui cantonnent les angles de la châsse de Saint Maurin, et unetendance architecturale qui vise plutôt à enrichir la forme de la châsse et à la transformer en un véritable petit templesurmonté parfois de coupoles. La châsse quiavait primitivement la forme dun coffret à reli-ques ou dun sarcophage devient peu à peuune véritable réduction de cathédrale. Vers la fin du xiT siècle, lémaillerie rhé-nane cpii avait réussi jusqualors à maintenirson indépendance, subit profondément lin-fluence de lEcole mosane illustrée par leschefs-dœuvre de trois grands maîtres : Gode-lr< dd de ( Frère HugodOignieset Nicolasde Verdun. èvre Godefroid de Cl
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