Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . lun des deux côtés (Droiteou Gauche) donne sa démission! — Danton,répondit Meillan, ceci va mal ot nira jamaisbien, tant quun homme vigoureux ne semettra pas à la tête! Vous êtes cet homme !Vous pouvez dirig-er le Comité de salut pu-blic, et faire le bien ! « Danton le regarda lixcmoiit et lui ditpar deux fois : « Ils nont pas de clib(rai(Mit dolour côté. Louvet \o\\v iiroposn iicIIimuim»! T. IV. daller se mettre à la tête dune insurrectiondépartementale. Les autres refusèrent. Ver-gniaud répétait : « Plutôt la
Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . lun des deux côtés (Droiteou Gauche) donne sa démission! — Danton,répondit Meillan, ceci va mal ot nira jamaisbien, tant quun homme vigoureux ne semettra pas à la tête! Vous êtes cet homme !Vous pouvez dirig-er le Comité de salut pu-blic, et faire le bien ! « Danton le regarda lixcmoiit et lui ditpar deux fois : « Ils nont pas de clib(rai(Mit dolour côté. Louvet \o\\v iiroposn iicIIimuim»! T. IV. daller se mettre à la tête dune insurrectiondépartementale. Les autres refusèrent. Ver-gniaud répétait : « Plutôt la mort que laguerre civile ! » Au bruit du tocsin, une centaine de dé-putés, pour la plupart de la Montagne, seréunirent sans convocation, et, tout en re-connaissant quils nétaient pas en nombre. la Kéveillèro-Léiaix. pour délibérer, ils reçurent la députationde lhôtel de ville. La députation demandale décret daccusation contre les vingt-sixreprésentants du peuple « qui veulent, dit-eHe, Icdéraliser les départements, quand lepeuple veut une Republique une et indivi-sible.— Législateurs, il faut en finir! » Le Montagnard Legendre, d({)assant lespétitionnaires, i)roposa larrestation de tousles représentants qui avaient voté lappelau peuple dans le procès de Louis X\ I. « Si, [tour avoir émis une opinion, secriaCambon, on faisait tomlKr la tète dun dé-put(, nous ne pourrions plus parler? Jo([(Muniuic r;ijournenient. » i34 90 lilsroiKE DE rUANCE La ferme altitu»!»* «l»^ (.;>iiil»ttn r(Mi<lit cou-rage à Barère. « La poursuite iliriji«H contre viniit-sixmembres, dit-il, est injuste, si eWo ne reposeque sur (les opinions et non sur des liberté des opinions (U)it être sacré aux dénonciateurs à fournir au Comitéde salut pub
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