. Gazette des beaux-arts . mtcjewerbliche Arbeilen, Gralz, 1883, i cahier, pi. VI. 1. Comparez aussi le heau busle de Bacchus au Musée de Naples, autrefoisdénommé Platon, dont M. Rayet a donné une héliogravure (Monuments de lartantique, vol. II, pi. LIV). 2. Froehner, Collection Gréau. Paris, 1883, n° 107, avec une photogravure. 3. Une photographie en a été publiée dans le catalogue de la collection 1883. i. Publiée dans le Bulletino délia commissions municipale, 1886, pî. VII, avecdes notices do MM. Lanciani et Yisconli. 5. Yoy. S. Reinach, La Colonne Trajane. Paris, Leroux,
. Gazette des beaux-arts . mtcjewerbliche Arbeilen, Gralz, 1883, i cahier, pi. VI. 1. Comparez aussi le heau busle de Bacchus au Musée de Naples, autrefoisdénommé Platon, dont M. Rayet a donné une héliogravure (Monuments de lartantique, vol. II, pi. LIV). 2. Froehner, Collection Gréau. Paris, 1883, n° 107, avec une photogravure. 3. Une photographie en a été publiée dans le catalogue de la collection 1883. i. Publiée dans le Bulletino délia commissions municipale, 1886, pî. VII, avecdes notices do MM. Lanciani et Yisconli. 5. Yoy. S. Reinach, La Colonne Trajane. Paris, Leroux, 1886, COURRIER DE LART ANTIQUE. 253 Le nombre de statues et de bustes dAntinous que lon possède est véri-tablement prodigieux ; le dernier auteur qui se soit occupé de ce personnage,M. Dietriclison, en énumérait 70, et sa liste est encore bien incomplè le jeune Bithynien eut disparu dans les flots du Nil, victime duneimprudence fatale ou dun mystérieux dévouement, toutes les villes de lAsie. STATDE EH MARBI1E D ANTINOUS. (Découverle à Rome.] Mineure, de la Grèce et de lEgypte sassocièrent au deuil du maître dumonde et élevèrent des statues au nouveau dieu. LItalie latine et les paysdOccident se tinrent sur la réserve : le culte dAntinous ny a laissé que peude traces en dehors de Rome. Dans la partie grecque de lEmpire, y comprisla Campanie, il se fonda des confréries dAntinoïteset, en Egypte, la ville de 1. Dietriclison, Antinoos, Christiania, 1885. Cf. le compte rendu de ce livreque nous avons publié dans la Revue critique, 1883, t. I, p. 357. GAZETTE DES BEAUX-ARTS. Bésa reçut le nom àAntinoopolis. Ce cuite, inspiré peut-être par la flatterie,persista par des causes plus profondes et dura jusquau triomphe du chris-tianisme. Il semble que lart antique, à la veille de disparaître, ait retrouvéquelque chose de sa vigueur première pour multiplier des images de ce jeunehomme qui unissait à la stature dun athlète le charme pre
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